mardi 3 mars 2009

RADIO KISKEYA NOUS ZOMBIFIE



LA MAJORITE DES MEDIAS EN HAITI NE SONT QUE DES MEDIAS DESTABILISATEURS AU SOLDE DES NEOCONS, RADIO KISKEYA NOUS ZOMBIFIE

États-Unis d’Amérique, 3 Mars 2009. Nous les membres du Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer constatons avec amertume la façon dont les médias anti-peuple comme Radio Kiskeya continue à déstabiliser le pays en racontant des mensonges contre Fanmi Lavalas dans son article "Lavalas annonce la fin de la « stabilité politique » en raison de son exclusion de la course électorale". De quelle stabilité politique parle Radio Kiskeya et de quelle déstabilisation?. Nombreux sont les medias Haïtiens qui ont joué un rôle majeur dans le renversement du Gouvernement constitutionnel de Jean-Bertrand Aristide et la pérennisation des entités étrangers dans le pays. Ils ne font que critiquer et injurier l'Organisation Fanmi Lavalas et nos chefs d’états sans faire un travail approfondi pour supporter leurs accusations. En lisant la déclaration faite la semaine dernière par René Civil et les membres des bases de Fanmi Lavalas, on se demande comment Radio Kiskeya ait pu tirer une telle conclusion? Les critères de déontologie requiert que le journaliste soit en mesure de penser logiquement, être analytique, possède le bon sens, être doté de créativité et en plus de relations humaines. La déontologie constitue un ensemble de règles qui reposent sur des textes approuvés par les représentants de la profession. Ces règles s'appliquent à la mission du journaliste. Le devoir d'informer, le respect du lecteur, l'intérêt public, le droit de savoir définissent la légitimité, la crédibilité, l’indépendance à l'égard des pouvoirs politiques et économiques, le respect de la vie privée, la protection des sources, etc.

Ces règles sont donc basées sur des principes vitaux:
• La connaissance du métier
• La transparence
• L'impartialité
• La qualité
• L'innovation
• La diffusion de l'information
• Le partage des connaissances
• La productivité
• Le suivi

Ces médias n’ont pas la crédibilité nécessaire et nous exhortons le peuple et les forces vives du pays à considérer les informations publiés par ces organisations "borlettes" pour ce qu'elles sont: des nouvelles à sensation. Il leur faut analyser le rôle joué par ces acteurs politiques en quête de leur pain quotidien au dépend du peuple. Par principe le journaliste doit avoir une conscience propre de ses responsabilités politiques et sociales envers la société. Le travail du journaliste consiste principalement à recueillir des informations sur un évènement d’actualité, en consultation avec les dépêches ou agences de presse en interrogeant des témoins, particuliers ou experts en s’appuyant sur différentes sources. Ce travail consiste en plus à écrire des articles, à publier des reportages (audio, vidéo, internet, magazine, journal radio, télévision ou toutes autres médias de masse). Le titre tiré par radio Kiskeya de la déclaration de René Civil constitue du "Voye Monte" et n’a aucune valeur journalistique. Ce comportement exhibé par ce journal ne fait que pérenniser la mécompréhension des forces vives du peuple et stigmatiser les pauvres pour toujours a un niveau inferieur. Un journaliste doit dire la vérité en obtenant les faits, ne doit pas publier des informations basées sur des rumeurs. Le journaliste ou le media a pour objectif d'inspirer le débat public, doit demeurer impartial au risque de se faire passer pour un activiste. La neutralité n'est pas un principe de base du journalisme, mais l'engagement de faits, de l'examen public, et à l'indépendance de factions doivent cependant être respectés. Un journaliste doit avoir de la loyauté envers son public, ce qui devait être même au dessus de son employeur. Nous demandons donc à Radio Kiskeya de se refreiner des articles injurieux et demandons que notre article soit publie par Radio Kiskeya et les autre entités ayant reproduit l’article injurieux envers Fanmi Lavalas intitulée (Lavalas annonce la fin de la « stabilité politique » en raison de son exclusion de la course électorale).