Vivre du mensonge et de la désinformation
Depuis sa création par un groupe de mercenaires professionnels, Haïti Observateur, a toujours été et est encore au service des forces réactionnaires qui jusqu'ici ont tout fait pour retenir le pays dans l'ornière du sous-développement. Ce "journal" que plus d'un qualifient avec raison, de véritable feuille de choux est un instrument entre les mains des ennemis de la patrie qui s'en servent à merveille pour détruire la réputation d'honnêtes gens, déstabiliser le pays et promouvoir la haine sociale. C'est en fait, un journal qui n'a apporté aucune contribution positive ni à la pratique de la profession de journaliste ni à la construction de la démocratie. En un mot, c'est la négation du journalisme professionnel. C'est donc une honte pour toute la corporation journalistique et pour tous ceux qui aspirent un jour faire carrière dans cette noble profession. Ces hommes sans scrupule d'Haïti Observateur ne font qu'avilir le journalisme et mettre en péril la liberté d'expression.
L'obstacle à la liberté d'expression
La déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen adoptée le 10 Décembre 1948 par les Nations Unies consacre la liberté d'expression comme droit fondamental qu'a chaque individu. La constitution haïtienne reconnait aussi en son article 28 la liberté de presse. Au nom de la démocratie, chacun a droit à son opinion. Et personne ne doit être poursuivi à cause de son opinion. Cependant, quand un organe de presse fait une utilisation manifestement excessive et abusive de cette liberté, cela constitue une menace grave pour sa propre liberté. Malheureusement, trop souvent certains organes dits de presse comme Haïti Observateur confondent liberté et libertinage. C'est une attitude liberticide. Ce journal édité à New York ne fait que diffamer et désinformer sans se soucier des normes déontologiques ni s'inquiéter des risques encourus. Dans tous les pays ou l'on respecte la loi, dans toutes sociétés civilisées le métier de journaliste s'exerce dans le respect des prescrits constitutionnels. Car, personne n'est au-dessus de la loi.
Créer pour diffamer et désinformer
Toujours fidèle à sa mission de destruction et de déstabilisation, Haïti Observateur ne rate jamais une occasion de diffamer et tenter d'induire le pays en erreur. Ce journal qui a servi les causes de toutes les dictatures qu'a connues le pays, les ennemis d'Haïti et de la démocratie ont choisi pour cible privilégiée, l'ancien président Jean Bertrand Aristide. Parce que le Dr. Aristide s'est identifié aux masses marginalisées, Haïti Observateur s'est dressé contre lui et s'attaque à sa réputation en tentant de salir son image avec toutes sortes d'accusations les unes plus ridicules que les autres. Parce que Jean Bertrand Aristide demeure incontestablement l'homme le plus populaire cinq (5) après son kidnapping et son exile forcé en Afrique du Sud, les hommes de Haïti Observateur continuent de conjuguer et de concentrer 99% de leur temps et de leurs énergies à la destruction de l'édifice que représente cet homme profondément enraciné dans l'âme du peuple haïtien qui lui est reconnaissant pour son apport positif à la construction du rêve haïtien, de la démocratie et aux efforts de développement d'un pays marqué par environ deux siècles de gaspillages, de gabegies administratives et d'exclusion.
Comme ils ont toujours participé à tous les complots ayant conduit le pays vers une situation de chaos, les hommes de Haïti Observateur avaient supporté tous les coups d'Etat perpétrés contre la démocratie et les gouvernements constitutionnels. En 1991 ils ont supporté le coup d'Etat militaire qui avait causé la mort de plus de cinq (5) mille personnes, des dizaines de milliers de torturés, de déplacés et d'exilés. Ils ont appuyé et pris part ouvertement au mouvement de déstabilisation du pays de 2001 à 2004. Ils ont supporté le kidnapping du 29 février et ont tenté et tentent encore de le justifier par tous les moyens déloyaux. Ce dernier coup d'Etat moderne a fait aussi des milliers de victimes dans le secteur populaire, contraint des centaines de cadre de Fanmi Lavalas à l'exil. Comme gratification, certains de ces minables se sont vus confiés des postes d'ambassadeur et de consul par le gouvernement de facto qui a pris le pouvoir au lendemain du rapt du 29 Février. Malgré leur incapacité évidente à diriger de telles institutions et leur passé plus que douteux; certains ont été accusé de corruption et de détournement de fonds, mais ils sont toujours en poste. Changement dans la continuité! On aura tout vu en Haïti. Conforté dans leur position, ils cherchent ou créent toujours l'occasion pour répandre leurs baves venimeuses sur ceux qui défendent les intérêts et œuvrent à l'amélioration des conditions de vie des couches défavorisées du pays. D'autant qu'ils vivent depuis cinq ans de l'argent du contribuable haïtien contre qui, d'ailleurs ils travaillent. Récemment ils ont encore bavé sur le leader charismatique du peuple haïtien.
Désinformation, une arme à double tranchant
Il ne fait aucun doute qu'Haïti Observateur vit essentiellement de la désinformation et de la diffamation. Ce « journal » a été conçu et créé pour dénigrer et discréditer tous ceux qui veulent s'attaquer sérieusement aux vrais problèmes du pays. Sa mission se résume à assassiner le caractère de tous ceux qui ont choisi d'être fidèle à la cause du peuple haïtien. Véritable caisse de résonnance de l'extrême droite, cette petite association de cancres s'enrage et panique parce qu'il devient de plus en plus évident que le retour du leader de la majorité des haïtiens dans son pays est inévitable. C'est pourquoi, dans un élan de désespoir ces mercenaires qui utilisent un organe de presse pour vivre essaient d'intensifier leur campagne éhontée. Ces hommes qui se font le porte parole par excellence des ennemis de la patrie et du peuple haïtien, ont, dans « un article » paru en début du mois de mai, essayé d'associer le nom du leader historique des masses défavorisées à une affaire de trafic de drogue. Ils ont fait savoir que Jacques Ketan actuellement détenu aux Etats Unis pour trafic illicite de stupéfiant serait le parrain de la fille aînée du président Aristide. Cependant, ils n'ont avancé aucune preuve pour étayer leurs accusations infondées. S'ils sont sûrs de cette information qu'ils publient l'acte de baptême de l'enfant en question afin que tout le monde puisse voir le nom de Jacques Ketan qui est apposé au bas dudit acte comme témoin lors de son baptême. Voilà un défi qu'ils doivent relever. Mais qu'on ne se trompe pas, ils n'ont pas de scrupule. Ils ne sont certainement pas près d'arrêter leurs conneries. Car, ils ne survivent que grâce à cette pratique de bas instinct. Ce sont en fait des pantouflards. Cette fois, ils n'ont pas fait recette. Les autres vendus n'ont pas relayé à tue tête cette absurdité. Et maintenant que personne n'est dupe et que le mensonge de Haïti Observateur ne passe plus, cette arme qu'il a toujours utilisée se tourne contre lui.
De mensonges en mensonges
Tous les gens avisés et civilisés savent que Haïti Observateur est un instrument de déstabilisation. C'est en fait une entreprise de manipulation que les extrémistes de droite utilisent à volonté pour assassiner d'honnêtes citoyens. Cette entreprise relayait toujours la propagande des différentes dictatures qui se sont succédées au pouvoir. Elle a même servi d'indicateur de police aux régimes dictatoriaux pour massacrer ceux qui résistaient à l'inacceptable et au règne de l'absurdité symbolisée notamment par les gouvernements issus des coups d'Etat. Etroitement liée à la mafia locale et internationale opérant en Haïti, cette petite entreprise qui prend sur elle-même d'exécuter les plus sales besognes n'hésite pas à chercher à salir l'image des gens de bien. Et cette petite entreprise composée d'une clique de coquins va de mensonges en mensonges. De temps en temps elle invente un dossier pour fabriquer des accusations farfelues et infondées. La dernière invention de Haïti Observateur est le prétendu mandat d'amener émis par un commissaire de gouvernement de Miami contre le président Aristide. Définitivement les hommes de cette petite entreprise ne retiennent plus leurs baves. A force de baver et d'écumer, ils risquent de se submerger. Ils ne se gênent pas de mentir même au risque de se faire découvrir. Car, le mandat en question n'existe que dans leur petite imagination, dans leurs rêves lointains. Il y a longtemps qu'ils fantasment sur une éventuelle arrestation du leader du peuple. Ces hommes bouchés à l'émeri ne comprennent pas que même le commun des mortels sait à quel jeu ils jouent. Ils ne réalisent pas que les haïtiens sont de plus en plus matures en matière de lutte politique. D'abord, en au cas, « l'Attorney General » qui est l'équivalent du commissaire du gouvernement n'émettrait de mandat à l'encontre d'un président qui serait impliqué dans une quelconque affaire de drogue. Ce serait l'affaire d'un juge d'instruction qui, après avoir conduit une enquête sérieuse et approfondie sur le dossier et après avoir rassemblé toutes les preuves nécessaires à l'inculpation de l'accusé émettrait un mandat dont le commissaire du gouvernement se chargerait d'exécuter. D'autant qu'il s'agirait d'un cas fédéral. Dans une affaire fédérale, c'est le juge fédéral qui traite le dossier, jamais un juge ou un commissaire du gouvernement local. Et ça les éléments mafieux d'Haïti Observateur le savent aussi bien que toute autre personne. Mais peu importe qu'ils soient pris en flagrant délit de mensonge, disent-ils. Ils jurent de poursuivre leurs œuvres destructrices à la fois contre leur pays et les honnêtes citoyens. Ils vivent du mensonge et c'est ce qui plait à la mafia pour laquelle ils travaillent. De même qu'on ne peut pas demander à un poisson d'exister en dehors de l'eau, on ne peut pas non plus demander à ces parasites de Haïti Observateur de cesser de mentir. Le jour où ils arrêtent de mentir, ils cesseront d'exister. Il sera extrêmement difficile à ces racailles de se convertir. Le mensonge qu'ils répandent a déjà atteint leurs tentacules. Le moment est donc venu de rétablir la vérité et barrer la route à ceux qui se servent de la liberté de la presse pour satisfaire les petits besoins de leur ventre.
Maudits soient les apôtres du mensonge, de la diffamation et de la désinformation.
Depuis sa création par un groupe de mercenaires professionnels, Haïti Observateur, a toujours été et est encore au service des forces réactionnaires qui jusqu'ici ont tout fait pour retenir le pays dans l'ornière du sous-développement. Ce "journal" que plus d'un qualifient avec raison, de véritable feuille de choux est un instrument entre les mains des ennemis de la patrie qui s'en servent à merveille pour détruire la réputation d'honnêtes gens, déstabiliser le pays et promouvoir la haine sociale. C'est en fait, un journal qui n'a apporté aucune contribution positive ni à la pratique de la profession de journaliste ni à la construction de la démocratie. En un mot, c'est la négation du journalisme professionnel. C'est donc une honte pour toute la corporation journalistique et pour tous ceux qui aspirent un jour faire carrière dans cette noble profession. Ces hommes sans scrupule d'Haïti Observateur ne font qu'avilir le journalisme et mettre en péril la liberté d'expression.
L'obstacle à la liberté d'expression
La déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen adoptée le 10 Décembre 1948 par les Nations Unies consacre la liberté d'expression comme droit fondamental qu'a chaque individu. La constitution haïtienne reconnait aussi en son article 28 la liberté de presse. Au nom de la démocratie, chacun a droit à son opinion. Et personne ne doit être poursuivi à cause de son opinion. Cependant, quand un organe de presse fait une utilisation manifestement excessive et abusive de cette liberté, cela constitue une menace grave pour sa propre liberté. Malheureusement, trop souvent certains organes dits de presse comme Haïti Observateur confondent liberté et libertinage. C'est une attitude liberticide. Ce journal édité à New York ne fait que diffamer et désinformer sans se soucier des normes déontologiques ni s'inquiéter des risques encourus. Dans tous les pays ou l'on respecte la loi, dans toutes sociétés civilisées le métier de journaliste s'exerce dans le respect des prescrits constitutionnels. Car, personne n'est au-dessus de la loi.
Créer pour diffamer et désinformer
Toujours fidèle à sa mission de destruction et de déstabilisation, Haïti Observateur ne rate jamais une occasion de diffamer et tenter d'induire le pays en erreur. Ce journal qui a servi les causes de toutes les dictatures qu'a connues le pays, les ennemis d'Haïti et de la démocratie ont choisi pour cible privilégiée, l'ancien président Jean Bertrand Aristide. Parce que le Dr. Aristide s'est identifié aux masses marginalisées, Haïti Observateur s'est dressé contre lui et s'attaque à sa réputation en tentant de salir son image avec toutes sortes d'accusations les unes plus ridicules que les autres. Parce que Jean Bertrand Aristide demeure incontestablement l'homme le plus populaire cinq (5) après son kidnapping et son exile forcé en Afrique du Sud, les hommes de Haïti Observateur continuent de conjuguer et de concentrer 99% de leur temps et de leurs énergies à la destruction de l'édifice que représente cet homme profondément enraciné dans l'âme du peuple haïtien qui lui est reconnaissant pour son apport positif à la construction du rêve haïtien, de la démocratie et aux efforts de développement d'un pays marqué par environ deux siècles de gaspillages, de gabegies administratives et d'exclusion.
Comme ils ont toujours participé à tous les complots ayant conduit le pays vers une situation de chaos, les hommes de Haïti Observateur avaient supporté tous les coups d'Etat perpétrés contre la démocratie et les gouvernements constitutionnels. En 1991 ils ont supporté le coup d'Etat militaire qui avait causé la mort de plus de cinq (5) mille personnes, des dizaines de milliers de torturés, de déplacés et d'exilés. Ils ont appuyé et pris part ouvertement au mouvement de déstabilisation du pays de 2001 à 2004. Ils ont supporté le kidnapping du 29 février et ont tenté et tentent encore de le justifier par tous les moyens déloyaux. Ce dernier coup d'Etat moderne a fait aussi des milliers de victimes dans le secteur populaire, contraint des centaines de cadre de Fanmi Lavalas à l'exil. Comme gratification, certains de ces minables se sont vus confiés des postes d'ambassadeur et de consul par le gouvernement de facto qui a pris le pouvoir au lendemain du rapt du 29 Février. Malgré leur incapacité évidente à diriger de telles institutions et leur passé plus que douteux; certains ont été accusé de corruption et de détournement de fonds, mais ils sont toujours en poste. Changement dans la continuité! On aura tout vu en Haïti. Conforté dans leur position, ils cherchent ou créent toujours l'occasion pour répandre leurs baves venimeuses sur ceux qui défendent les intérêts et œuvrent à l'amélioration des conditions de vie des couches défavorisées du pays. D'autant qu'ils vivent depuis cinq ans de l'argent du contribuable haïtien contre qui, d'ailleurs ils travaillent. Récemment ils ont encore bavé sur le leader charismatique du peuple haïtien.
Désinformation, une arme à double tranchant
Il ne fait aucun doute qu'Haïti Observateur vit essentiellement de la désinformation et de la diffamation. Ce « journal » a été conçu et créé pour dénigrer et discréditer tous ceux qui veulent s'attaquer sérieusement aux vrais problèmes du pays. Sa mission se résume à assassiner le caractère de tous ceux qui ont choisi d'être fidèle à la cause du peuple haïtien. Véritable caisse de résonnance de l'extrême droite, cette petite association de cancres s'enrage et panique parce qu'il devient de plus en plus évident que le retour du leader de la majorité des haïtiens dans son pays est inévitable. C'est pourquoi, dans un élan de désespoir ces mercenaires qui utilisent un organe de presse pour vivre essaient d'intensifier leur campagne éhontée. Ces hommes qui se font le porte parole par excellence des ennemis de la patrie et du peuple haïtien, ont, dans « un article » paru en début du mois de mai, essayé d'associer le nom du leader historique des masses défavorisées à une affaire de trafic de drogue. Ils ont fait savoir que Jacques Ketan actuellement détenu aux Etats Unis pour trafic illicite de stupéfiant serait le parrain de la fille aînée du président Aristide. Cependant, ils n'ont avancé aucune preuve pour étayer leurs accusations infondées. S'ils sont sûrs de cette information qu'ils publient l'acte de baptême de l'enfant en question afin que tout le monde puisse voir le nom de Jacques Ketan qui est apposé au bas dudit acte comme témoin lors de son baptême. Voilà un défi qu'ils doivent relever. Mais qu'on ne se trompe pas, ils n'ont pas de scrupule. Ils ne sont certainement pas près d'arrêter leurs conneries. Car, ils ne survivent que grâce à cette pratique de bas instinct. Ce sont en fait des pantouflards. Cette fois, ils n'ont pas fait recette. Les autres vendus n'ont pas relayé à tue tête cette absurdité. Et maintenant que personne n'est dupe et que le mensonge de Haïti Observateur ne passe plus, cette arme qu'il a toujours utilisée se tourne contre lui.
De mensonges en mensonges
Tous les gens avisés et civilisés savent que Haïti Observateur est un instrument de déstabilisation. C'est en fait une entreprise de manipulation que les extrémistes de droite utilisent à volonté pour assassiner d'honnêtes citoyens. Cette entreprise relayait toujours la propagande des différentes dictatures qui se sont succédées au pouvoir. Elle a même servi d'indicateur de police aux régimes dictatoriaux pour massacrer ceux qui résistaient à l'inacceptable et au règne de l'absurdité symbolisée notamment par les gouvernements issus des coups d'Etat. Etroitement liée à la mafia locale et internationale opérant en Haïti, cette petite entreprise qui prend sur elle-même d'exécuter les plus sales besognes n'hésite pas à chercher à salir l'image des gens de bien. Et cette petite entreprise composée d'une clique de coquins va de mensonges en mensonges. De temps en temps elle invente un dossier pour fabriquer des accusations farfelues et infondées. La dernière invention de Haïti Observateur est le prétendu mandat d'amener émis par un commissaire de gouvernement de Miami contre le président Aristide. Définitivement les hommes de cette petite entreprise ne retiennent plus leurs baves. A force de baver et d'écumer, ils risquent de se submerger. Ils ne se gênent pas de mentir même au risque de se faire découvrir. Car, le mandat en question n'existe que dans leur petite imagination, dans leurs rêves lointains. Il y a longtemps qu'ils fantasment sur une éventuelle arrestation du leader du peuple. Ces hommes bouchés à l'émeri ne comprennent pas que même le commun des mortels sait à quel jeu ils jouent. Ils ne réalisent pas que les haïtiens sont de plus en plus matures en matière de lutte politique. D'abord, en au cas, « l'Attorney General » qui est l'équivalent du commissaire du gouvernement n'émettrait de mandat à l'encontre d'un président qui serait impliqué dans une quelconque affaire de drogue. Ce serait l'affaire d'un juge d'instruction qui, après avoir conduit une enquête sérieuse et approfondie sur le dossier et après avoir rassemblé toutes les preuves nécessaires à l'inculpation de l'accusé émettrait un mandat dont le commissaire du gouvernement se chargerait d'exécuter. D'autant qu'il s'agirait d'un cas fédéral. Dans une affaire fédérale, c'est le juge fédéral qui traite le dossier, jamais un juge ou un commissaire du gouvernement local. Et ça les éléments mafieux d'Haïti Observateur le savent aussi bien que toute autre personne. Mais peu importe qu'ils soient pris en flagrant délit de mensonge, disent-ils. Ils jurent de poursuivre leurs œuvres destructrices à la fois contre leur pays et les honnêtes citoyens. Ils vivent du mensonge et c'est ce qui plait à la mafia pour laquelle ils travaillent. De même qu'on ne peut pas demander à un poisson d'exister en dehors de l'eau, on ne peut pas non plus demander à ces parasites de Haïti Observateur de cesser de mentir. Le jour où ils arrêtent de mentir, ils cesseront d'exister. Il sera extrêmement difficile à ces racailles de se convertir. Le mensonge qu'ils répandent a déjà atteint leurs tentacules. Le moment est donc venu de rétablir la vérité et barrer la route à ceux qui se servent de la liberté de la presse pour satisfaire les petits besoins de leur ventre.
Maudits soient les apôtres du mensonge, de la diffamation et de la désinformation.
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