vendredi 24 juillet 2009
REOCE DÉNONCE LA PRIVATISATION
Le Regroupement des Organisations engagées dans le Combat contre l’Exclusion (REOCE), a convié les travailleurs de la presse à une conférence. En effet, depuis 11heures du matin, les panélistes nous attendaient déjà à la salle Toussaint Louverture de l’Hôtel le Plaza au Champs-de-Mars.
L’objectif de cet entretien consistait à informer le public de leur position en ce qui a trait à la privatisation des entreprises publiques ainsi que les élections sélections du 21 juin. D’entrée de jeu ils dénonçaient ouvertement ce macabre plan néolibéral que veulent imposer aux pays le gouvernement Lespwa.
En outre cette intervention était l’occasion propice d’attirer l’attention de la population sur les dangers que représenteraient de telles initiatives visant à privatiser les entreprises publiques.
« Nous au REOCE, croyons qu’il relève de notre responsabilité première en tant qu’organisation conséquente de prévenir le peuple de cette épée de Damoclès que représente la privatisation. La logique du gouvernement consistant à brader le patrimoine national en privatisant les entreprises publiques et même l’Université d’Etat est inadmissible», a dénoncé Jean Daniel André.
Le Secrétaire Général du REOCE a poursuivi pour prévenir le peuple et les milliers de victimes dont leurs existences vont sérieusement en pâtir. Selon REOCE, le gouvernement préfère continuer à enrichir les plus riches en leur livrant les entreprises publiques.
« C’est cynique de mettre un tel plan à exécution sans analyser les préjudices qu’il va causer à part déplorer le fait que le gouvernement n’ait consenti aucun effort pour pourvoir à la majeure partie de la population de services sociaux de base dont l’éducation, les soins de santé, le logement la nourriture etc. », a reconnu Etienne Malleur, Secrétaire Général Adjoint de REOCE.
L’augmentation de la misère, l’affaiblissement de l’appareil de l’Etat, la disparition de la clase moyenne.., tels seront les résultats les plus évidents du renforcement de cette dictature sauvage au profit de cette minorité de privilégiés.
Il va sans dire que cette situation de désolation dans laquelle se trouve Haïti fait appelle à une structure étatique forte prenant en compte le bien-être de la population majoritaire.
« Face à cette situation pour le moins inquiétante, REOCE exhorte le gouvernement à se ressaisir et à surseoir sur le plan macabre de la privatisation. La liquidation des entreprises publiques relève d’un crime condamnable. Il serait préférable d’initier un dialogue franc impliquant tous les secteurs sociaux indistinctement», a conseillé le coordonnateur Adjoint Clervil Levelt.
En outre, REOCE, par la voix de Clébert Charles, croit que des élections honnêtes, crédibles et inclusives doivent être organisées. En ce sens, REOCE invite les honorables Sénateurs de la République à ne pas valider le pouvoir de ces sélectionnés et ne céder ni aux pressions ni aux chantages. Car c’est inconcevable que des élus puissent avaliser la mascarade du 21 juin.
En conclusion, REOCE s’est fait le porte parole du peuple en exigeant le retour physique immédiat du Docteur Président Jean Bertrand Aristide. La constitution serait-elle en veilleuse ? Car en son article 41 la loi mère de la nation interdit formellement l’exil. Il parait que pour le gouvernement Préval Pierre-Louis Konstitisyon se fèy bannann. Men mitrayèt nan men sòlda Minista se fann fwa. Sa k ta di sa?
J. Fatal Piard
www.fanmilavalas.net
GESTION DE PRÉVAL, VHAEAO INDIGNÉ
Le vendredi 10 juillet 2009, plusieurs conférences ont été organisées dans la capitale haïtienne. A la rue des Miracles, au local de la Confédération des Travailleurs Haïtiens, (CTH), c’était au tour des Volontaires Haïtiens pour Aider les Enfants Abandonnés de l’Ouest (VHEAO), de mobiliser l’attention des médias à travers un entretien.
Le VHEAO a, par sa voix exprimé la préoccupation de l’ensemble de la population haïtienne abandonnée à elle-même et qui n’a rien à faire. Les panélistes répondaient au nom de Fleurissant Robert au poste de Président. Abel Hilaire quant à lui est Vice-Président. Josué Louis et Gaston Décex occupent respectivement les fonctions de Secrétaire Général et de Porte Parole.
« Au sein du VHEAO, nous estimons que c’est indignant face à l’attitude irresponsable du gouvernement Préval Pierre Louis. Parallèlement, les fléaux de la misère, du chômage et de la faim font rage au sein de la population nécessiteuse. C’est révoltant que le Président Préval puisse adopter un tel comportement dans le dossier du salaire minimum et de la privatisation des entreprises publiques» s’est indigné Fleurisaint Robert.
Le VHEAO dit ne pas comprendre pourquoi le Président Préval refuse catégoriquement de publier la loi sur le salaire minimum pourtant préalablement votée par les deux chambres. Cette logique de dilatoire a pour objectif d’empêcher que les pauvres travailleurs ne puissent bénéficier des 200 gourdes.
« Comment comprendre qu’un gouvernement ne puisse avoir comme programme que des Commissions pour gérer les catastrophes naturelles. C’est cynique de fermer de la sorte la bouche des experts en tapage Médiatique. Sans vous en rendre compte ces professionnels des commissions profitent du malheur des autres pour s’enrichir copieusement. « Se lè gen move tan moun sa a yo fè pi gwo resèt », a déploré Gaston Décex, porte parole de VHEAO.
Chaque panéliste avait de nombreuses préoccupations à exprimer. Et elles vont en des sens divers. Ils sont même allés jusqu’à chatouiller le reliquat de conscience des dirigeants qui ne se rendent pas à l’évidence que le pays n’en peut plus. Le VHEAO a rappelé que d’autres pays tels le Rwanda étaient bien pires qu’Haïti. Pourtant, ils sont parvenus à remonter la pente de la déstabilisation et du sous-développement. VHEAO pa konn si peyi sa a yo pa gen GNB ladan yo.
Le VHEAO croit que la jeunesse a droit à un prix Nobel. En fonction des calamités, des malheurs, des drames, et autres tragédies et mauvais traitements dont ont été victimes les jeunes, et qu’ils arrivent encore à rester à flot, c’est une évidence qu’ils ont des mérites que personne ne saurait nier.
Considérant qu’une jeunesse bien formée représente l’avenir du pays. Il revient alors à tout gouvernement responsable de les encadrer. Les jeunesses revendiquent un prix d’encouragement de préférence, en leur permettant d’accéder aux encadrements professionnels adéquats leur permettant de travailler dignement. C’est la seule et unique façon de parvenir à l’édification d’une société forte et prospère.
Josué Louis, à titre de Secrétaire Général du VHEAO, a tenté de rafraîchir la mémoire du Président Préval sur les inestimables sacrifices consentis par les jeunes pour le hisser au pouvoir. En ce temps là, on assimilait Préval à une panacée pouvant venir à bout des vermines et autres et autres parasites préjudiciables à la santé humaine.
Cependant, les faits ont prouvé que leurs hypothèses allaient donner des résultats tout à fait contraires. C’est sous le gouvernement de Préval qu’une faim comparable à du chlore s’est emparée de la population. Qui ne se souvient pas des émeutes d’avril 2008 ? A date Préval n’a rien fait pour venir en aide à la population. Ala remò ooo.
« C’est pour cette raison, le VHEAO croit opportun de rappeler au chef de l‘Exécutif qu’il est grand temps qu’il revienne sur la terre ferme. Par le fait que nous avons voté pour vous nous donne le plein droit de nous indigner de votre gestion catastrophique » s’est plaint Josué Louis.
Pour terminer, VHEAO a conseillé au Président Préval de faire preuve de plus de circonspection pour ses électeurs. Les masses populaires étaient absentes du premier mi temps. Et l’avènement de Michèle Pierre-Louis à la primature en fonction de son appartenance au gang GNB, constitue un remords cuisant et même une paire de gifles en plein visage des exclus sociaux.
Vu la situation de misère infrahumaine dans laquelle est rivée la population, VHEAO a grande raison de s’indigner de la gestion catastrophique du Président Préval. En fonction de sa sympathie incommensurable pour les GNB, VHEAO estimons que son échec est bien volontaire et qu’il ne pouvait être autrement.
J. Fatal Piard
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Le VHEAO a, par sa voix exprimé la préoccupation de l’ensemble de la population haïtienne abandonnée à elle-même et qui n’a rien à faire. Les panélistes répondaient au nom de Fleurissant Robert au poste de Président. Abel Hilaire quant à lui est Vice-Président. Josué Louis et Gaston Décex occupent respectivement les fonctions de Secrétaire Général et de Porte Parole.
« Au sein du VHEAO, nous estimons que c’est indignant face à l’attitude irresponsable du gouvernement Préval Pierre Louis. Parallèlement, les fléaux de la misère, du chômage et de la faim font rage au sein de la population nécessiteuse. C’est révoltant que le Président Préval puisse adopter un tel comportement dans le dossier du salaire minimum et de la privatisation des entreprises publiques» s’est indigné Fleurisaint Robert.
Le VHEAO dit ne pas comprendre pourquoi le Président Préval refuse catégoriquement de publier la loi sur le salaire minimum pourtant préalablement votée par les deux chambres. Cette logique de dilatoire a pour objectif d’empêcher que les pauvres travailleurs ne puissent bénéficier des 200 gourdes.
« Comment comprendre qu’un gouvernement ne puisse avoir comme programme que des Commissions pour gérer les catastrophes naturelles. C’est cynique de fermer de la sorte la bouche des experts en tapage Médiatique. Sans vous en rendre compte ces professionnels des commissions profitent du malheur des autres pour s’enrichir copieusement. « Se lè gen move tan moun sa a yo fè pi gwo resèt », a déploré Gaston Décex, porte parole de VHEAO.
Chaque panéliste avait de nombreuses préoccupations à exprimer. Et elles vont en des sens divers. Ils sont même allés jusqu’à chatouiller le reliquat de conscience des dirigeants qui ne se rendent pas à l’évidence que le pays n’en peut plus. Le VHEAO a rappelé que d’autres pays tels le Rwanda étaient bien pires qu’Haïti. Pourtant, ils sont parvenus à remonter la pente de la déstabilisation et du sous-développement. VHEAO pa konn si peyi sa a yo pa gen GNB ladan yo.
Le VHEAO croit que la jeunesse a droit à un prix Nobel. En fonction des calamités, des malheurs, des drames, et autres tragédies et mauvais traitements dont ont été victimes les jeunes, et qu’ils arrivent encore à rester à flot, c’est une évidence qu’ils ont des mérites que personne ne saurait nier.
Considérant qu’une jeunesse bien formée représente l’avenir du pays. Il revient alors à tout gouvernement responsable de les encadrer. Les jeunesses revendiquent un prix d’encouragement de préférence, en leur permettant d’accéder aux encadrements professionnels adéquats leur permettant de travailler dignement. C’est la seule et unique façon de parvenir à l’édification d’une société forte et prospère.
Josué Louis, à titre de Secrétaire Général du VHEAO, a tenté de rafraîchir la mémoire du Président Préval sur les inestimables sacrifices consentis par les jeunes pour le hisser au pouvoir. En ce temps là, on assimilait Préval à une panacée pouvant venir à bout des vermines et autres et autres parasites préjudiciables à la santé humaine.
Cependant, les faits ont prouvé que leurs hypothèses allaient donner des résultats tout à fait contraires. C’est sous le gouvernement de Préval qu’une faim comparable à du chlore s’est emparée de la population. Qui ne se souvient pas des émeutes d’avril 2008 ? A date Préval n’a rien fait pour venir en aide à la population. Ala remò ooo.
« C’est pour cette raison, le VHEAO croit opportun de rappeler au chef de l‘Exécutif qu’il est grand temps qu’il revienne sur la terre ferme. Par le fait que nous avons voté pour vous nous donne le plein droit de nous indigner de votre gestion catastrophique » s’est plaint Josué Louis.
Pour terminer, VHEAO a conseillé au Président Préval de faire preuve de plus de circonspection pour ses électeurs. Les masses populaires étaient absentes du premier mi temps. Et l’avènement de Michèle Pierre-Louis à la primature en fonction de son appartenance au gang GNB, constitue un remords cuisant et même une paire de gifles en plein visage des exclus sociaux.
Vu la situation de misère infrahumaine dans laquelle est rivée la population, VHEAO a grande raison de s’indigner de la gestion catastrophique du Président Préval. En fonction de sa sympathie incommensurable pour les GNB, VHEAO estimons que son échec est bien volontaire et qu’il ne pouvait être autrement.
J. Fatal Piard
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