samedi 30 octobre 2010

YON PREZIDAN TOU NÈF, POU YON AYITI TOU NÈF. TOUT MOUN LADAN L = JEAN HENRY CÉANT # 63

RAPPORT SUR LA RENCONTRE AVEC L’HONORABLE ME CEANT, CANDIDAT A LA PRESIDENTIELLE HAITIENNE

C’est avec un esprit ouvert, sans idées préconçues ni préjugés que le Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer et la diaspora haïtienne ont accueilli le candidat à la présidentielle haïtienne l’honorable Me. Jean Henry Céant le samedi 23 octobre dernier dans la grande ville de Miami.

La conférence, a été décidée et comprise comme un préalable utile et même indispensable pour aider les haïtiens de l’étranger à s’orienter vers une alternative qui assurera le respect des desiderata du peuple haïtien.

Sans naïveté, ni optimiste démesuré CFLHO, a organisé cette rencontre pour donner la chance à la diaspora haïtienne d’avoir un face-à-face avec le candidat Céant lui permettant de faire sa propre analyse afin de décider qui choisir à défaut de pouvoir envoyer son propre candidat aux urnes.

Introduction du candidat

Céant reste le seul alternatif fiable. Un fait sur lequel M. Jacob François, coordonateur du Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer a mis l’accent à travers ses mots d’introduction. M. François a présenté à l’assistance le candidat à la présidentielle de « Renmen Ayiti « l’honorable Me Jean Henry Céant en des termes très élogieux.

Voilà en quelques paragraphes le message de M. François :

CFLHO tient à insister sur le fait qu’il supporte toute décision prise par le représentant du président Jean Bertrand Aristide, Dr. Maryse Narcisse. Sa décision ne va en aucun cas à l’encontre du Comité Exécutif Fanmi Lavalas. Elle constitue au contraire un message clair et net au gouvernement sortant qui poursuit ses manœuvres d’intimidation afin de garder le pouvoir. Il faut se mettre à l’évidence que si les politiciens peuvent se permettre d’attendre cinq autres années pour mettre sur pied une stratégie efficace leur permettant de reprendre les rennes du pouvoir, le peuple malade, handicapé, affamé, assoiffé, vivant sous les tentes de fortunes ne peut pas se le permettre. Ce peuple sans abris qui ne connait que malheur après malheur, exposé continuellement aux catastrophes naturelles et à toutes sortes de maladies contagieuses ne peut plus attendre. En moins d’une semaine une épidémie de Choléra nous a déjà volé plus de 250 de nos concitoyens comme si les centaines de milliers que le tremblement de terre du 12 janvier 2010 nous a ravis ne suffisent pas aux démons de la nature.

Non, le peuple haïtien ne peut pas se permettre d’attendre cinq autres années. Il sait très bien que s’il n’arrive pas à faire réintégrer le parti qui le représente d’ici novembre les vautours lui donneront pour son grand malheur un président qui lui dira qu’il ne peut pas faire de miracles ou « Naje pou sòti ».

Ce peuple, vivant depuis des décennies dans des conditions si inhumaines et pour qui même les phénomènes naturels deviennent des catastrophes, a besoin d’un gouvernement responsable pour le soulager de ses malheurs et apaiser ses inquiétudes.

Dans des pays développés comme celui où nous vivons nous nous réjouissons quand il pleut, pensant à notre gazon qui deviendra plus vert, nos plantes qui fleuriront à profusion et nos arbres fruitiers qui produiront plus. Alors qu’en Haïti, à la moindre averse on s’inquiète des inondations, des éboulements qui provoqueront des dizaines de mort et de sans-abris... Comprenez-vous pourquoi il est si urgent pour ce peuple désespéré de s’assurer aux prochains suffrages qu’il élira un président qui partage ses inquiétudes et qui en fait ses priorités?

Nous lavalassiens de l’extérieur, devons perpétuer cette tradition de solidarité, en restant attentif à tous les frémissements de la mère patrie. Notre peuple apprécie l’action de tous ceux qui, dans le cadre de la coopération, œuvrent pour l’amélioration de ses conditions de vie. Même exclus des élections il nous faut encore poursuivre notre combat pour une Haïti politiquement stable, forte et économiquement indépendante.

La position officielle du Comité exécutif de Fanmi Lavalas est politiquement juste et responsable ; mais il nous faut une alternative. Son nom n’est autre que Me. Jean Henry Céant !

Quand notre leader le Dr. Jean-bertrand Aristide a été kidnappé et exilé, il n’a eu que le temps de nous donner un denier à faire fructifier avec la chartre de l’organisation pour boussole.

CFHLO se défend d’être l’esclave qui a enterré son denier par peur de faire des erreurs et déplaire au maitre. Fanmi Lavalas a pour leader un homme juste et équitable qui ne mérite pas de rester en exil. Nous tenons à rester vigilants et utiliser des stratégies pluridimensionnelles pour assurer le retour en Haïti de notre leader. Si nous devons être sanctionnés pour avoir tout essayé pour rendre vrai le retour du Dr. Aristide, nous sommes prêts à recevoir notre sanction.

Le Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer malgré toutes les entraves rencontrées, a compris l’urgence d’accomplir son devoir de mobilisation, d’information et de préparation du peuple.

Le Comité tient à pousser la diaspora haïtienne aux réflexions qui s’imposent pour qu’elle choisisse en toute connaissance de cause un président pour le changement vrai, profond, sincère et démocratique. Un président qui libérera définitivement le peuple haïtien de l’aliénation due au sous développement et à la pauvreté. Il faut souligner que ce rassemblement n’a pas été strictement lavalassien. Il a été plutôt une rencontre de tous les citoyens haïtiens de la diaspora et de leurs amis soucieux du bien-être d’Haïti et de son peuple.

Ils ont ainsi eu l’opportunité de déterminer et de conclure de par eux-mêmes que Me Céant est l’homme qu’il faut pour prendre la relève du gouvernement sortant qui ne s’est jamais montré à la hauteur de la tache qui lui a été confiée par le peuple haïtien il y a déjà 5 ans. Ce fut dans l’essence une rencontre très réussie. La salle était remplie de citoyens haïtiens conséquents qui comprenaient l’enjeu du moment et l’importance de passer outre leurs différences pour défendre les intérêts de leur pays et ainsi assurer un avenir meilleur pour le peuple haïtien qu’ils chérissent tant.

Le candidat

Personne ne peut contester la brillance intellectuelle de Maitre Céant qui excelle aussi bien dans ses disciplines universitaires que dans son analyse politique. Brillant notaire né d’un père et d’une mère du peuple qui l’on poussé malgré leurs maigres moyens vers le succès et l’excellence.

Son sens du devoir familial et patriotique ne fait aucun doute. Il n’a jamais hésité depuis son plus jeune âge à se sacrifier pour aider les moins chanceux. Son sens de leadership lui a valu durant son passage à l’école de droit la position de président de sa promotion. Membre du barreau et Notaire à Port-au-Prince, depuis 1986, Me Céant est actuellement membre de l'Union Internationale du Notariat (UINL). Il a plus de vingt ans d'expérience professionnelle, dont dix, en tant que professeur de droit de la propriété à l'Université Quisqueya, y compris actuellement comme professeur à l'École Nationale d'Administration Financière (ENAF). Il a tenu un grand nombre de conférences et de séminaires pour les institutions financières, associations de jeunes, et pour diverses organisations religieuses, sociales et politiques. Me. Céant est bénévole et donne son temps à plusieurs groupes dans toute la communauté haïtienne, localement et à l'étranger, incluant l'assistance sur une base pro-bono de Habitat for Humanity, L’Office National du Cadastre, L’Hôpital Saint-Joseph et le Conseil épiscopal de l'Eglise catholique. Il est un membre fondateur de certaines des principaux organisations en Haïti et plus particulièrement de la coopérative de logement (COLOFE), du Centre de Recherche et de Développement de Tabarre (CREDECT), de l'Association Syndicale Professionnelle de Notaire de Port-au-Prince (ASNOP), de l'Association professionnelle des professionnels du droit (APD), Aimer Haïti, de la Fondation Haïtienne pour un Support à la Formation Universitaire (FHASFU) et de la fondation "DWA POU TOUT MOUN".

Il ne fait aucun doute que le candidat Céant soit à la hauteur de la magistrature suprême qu’il convoite. Il l’a aussi prouvé tout au cours de cette extraordinaire rencontre où il s’est surpassé en éloquence. Me Céant a une philosophie politique très ambitieuse et un programme de gouvernement bien précis. Sa présentation très détaillée fut directe, claire, franche, honnête et concise. Il n’a pas manqué de souligner qu’il est le candidat et sera le président de toutes les couches de la société haïtienne et de la diaspora. « Tout moun ladan l » a-t-il déclaré tout au début de son allocution.

Me. Céant a insisté sur l’importance de la force dans l’unité pour renforcer nos rangs, mettre fin à l’instabilité politique, institutionnelle et économique qui perdure et assurer l’émergence d’une Haïti libre et prospère. Je ne prétends pas tout savoir, a martelé le candidat, mais je suis persuadé que si je m’entoure d’hommes et de femmes capables et qualifiés j’arriverai à exécuter avec succès mon projet de développement pour mon pays et mon peuple. Le candidat bien avant le débat ne s’est pas retenu de donner des réponses claires et directes à toutes les interrogations silencieuses qu’il savait pertinemment flotter dans l’air vu qu’il s’adressait à un public en majorité lavalassien. Pourquoi quelqu’un aurait-il honte de dire qu’il est lavalassien? A-t-il demandé avec véhémence.

Pourquoi serais-je contre Fanmi Lavalas puisque je véhicule les mêmes théories, et que ma candidature est basée sur les mêmes principes ? Mon souci majeur est de libérer le peuple affamé de la faim et de l’exclusion... tout comme le veut Fanmi Lavalas. Dr. Jean Bertrand Aristide est avant tout un citoyen haïtien et il a le droit légal tout comme Duvalier ou tout autre haïtien de vivre paisiblement dans son pays. La possibilité de son retour en Haïti fait parti de mes priorités, a-t-il affirmé.

A ces mots, toute l’assistance s’est mise debout pour applaudir le candidat. Me. Céant a précisé qu’il a un travail très important pour les anciens présidents Aristide et Duvalier dans son gouvernement. Je suis contre l’exil de nos élites intellectuelles. De plus, je tiens à ce que la diaspora participe au fonctionnement du pays à tous les niveaux a précisé le candidat. Au dire du candidat Céant, un citoyen haïtien doit avoir le droit d’adopter plusieurs nationalités sans que cela ne l’exclu des décisions de son pays ou ne l’empêche de demeurer un citoyen haïtien à part entier. Le candidat a aussi fait mention d’un programme d’encadrement pour inciter la diaspora à revenir au bercail pour investir intellectuellement et financièrement. Le candidat de « Renmen Ayiti » nous a assurés publiquement qu’avec lui nous n’aurons pas à renier nos valeurs et nos convictions et qu’ensemble nous arriverons à trouver des points de convergence qui nous mènera vers le but fixé qui est d’assurer le développement de notre chère Haïti dans la paix et la stabilité. Me Céant a mis l’emphase sur le comportement irresponsable du gouvernement sortant face à la misère du peuple et aux problèmes engendrés par le séisme du 12 janvier.

La relance de l’économie, la création d’emplois, la reconstruction et le relogement des victimes du tremblement de terre sont ses priorités. « Tout moun ladan l » tonna le candidat d’une voix remplie d’émotions. Il me faut la participation de chacun d’entre vous pour m’assurer que ce rêve pour lequel je suis disposé à consacrer toute ma vie devienne réalité a-t-il conclu. Le candidat a reçu de grandes ovations durant et à la fin de son intervention. Madame la député Daphné Campbell de la Floride, lors de son intervention n’a pas hésité à s’adresser au candidat en tant que « Président » Jean Henry Céant. Elle a fait ses éloges en tant qu’un candidat sérieux, dynamique et soucieux de trouver des solutions aux problèmes du peuple haïtien. Madame Campbell a donné son soutien inconditionnel à M. Céant et promis de soutenir sa candidature jusqu’à son avènement à la magistrature suprême. A ces mots, toute l’assistance s’est levée pour crier le nom du candidat à perdre haleine.

Puis ce fut au tour de la sénatrice Bell de prendre la parole pour insister sur l’importance d’une mobilisation intense pour assurer la passation du pouvoir au président Jean Henry Céant. « Je, sénatrice Youseline Augustin Bell soutient publiquement le candidat à la présidence Me Jean Henry Céant » a-t-elle déclaré avec force à la fin de son intervention « et je vous invite tous à faire de même si vous tenez à une Haïti meilleure ».

Débats

Les questions ont été nombreuses, intéressantes et précises. Le candidat n’a pas lésiné sur les réponses qui furent détaillées, nettes et concises.

•Concernant la situation d’instabilité chronique qui ronge le pays depuis des décennies le candidat préconise les remèdes suivants : Favoriser le dialogue politico-social; Mettre en place des institutions démocratiques et crédibles ; Mener des démarches inclusives ; favoriser des rencontres effectives entre les secteurs publics et privés sans négliger les partenaires étrangers afin de relancer l’économie et recréer la confiance nationale.

•Sur la question de la corruption spécialement au niveau des institutions étatiques Me Céant a répondu qu’il est pour la justice mais ne veut pas retourner sur le passé. (Je pense qu’il est tant pour nous de pardonner les erreurs passées pour aider le pays à aller de l’avant a-t-il dit. Réunir tous les partis politiques, les organisations de bases et les différents groupes de la diaspora pour une grande concertation, tel sera mon premier geste de réconciliation le lendemain de mon inauguration, pour ainsi prouver que « tout moun ladan l » n’est pas qu’un slogan.)

•Sur la question de la décentralisation il a répondu que la constitution stipule qu’il revient au premier ministre et non au président de créer un programme politique. Et pourtant, le candidat à la présidence doit parler et répondre aux questions relatives à son programme de gouvernement durant sa campagne électorale. (Mais je peux vous garantir une chose, en tant qu’homme de loi je ferai tout en mon pouvoir pour contourner les inconvénients, corriger les petites imperfections de la constitution et m’assurer que la décentralisation demeure la grande priorité de mon gouvernement.)

•Pour ce qui est d’une solution efficace aux problèmes de kidnapping le candidat a insisté sur la nécessité de créer des emplois, de permettre à tous d’avoir la possibilité de subvenir à leurs besoins les plus primaires en vue de mettre fin au désespoir qui le plus souvent certains de nos compatriotes a commettre des actes d’aggressions liés au kidnapping et au vol. La création d’un service d’intelligence sérieux, un remaniement en profondeur de la police nationale et la création d’une force spéciale capable d’assurer un climat stable et propice pour les investisseurs haïtiens et étrangers.

Eloges aux contribuables

Le Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer remercie chaleureusement le candidat à la présidence l’honorable Me Jean Henry Céant qui a honoré cette illustre rencontre de sa présence et de sa participation. Me Céant a certainement illuminé la salle par son charisme, sa superbe prestation et ses réponses claires, directes et précises.

Merci à tous les dignitaires qui ont accompagné le candidat ; entre autre l’ancien ministre de la culture M. Guy Paul, et l’ancien vice président de la banque centrale M. Hancy Pierre-Louis.

Merci à tous les dignitaires locaux qui nous ont honorés de leur présence : Mrs. Daphne Campbell State Representative Elect M. Alix Désulmé greffier de Miami Dr. Ketia Cadeau professeur à St-Thomas University

CFLHO tient particulièrement à remercier tous ceux qui ont contribué au succès de cette rencontre mémorable :
M. Serge Pierre Pierre de New York pour son soutien sincère, infaillible et constant.
M. Jean Audan Catel de Paris
M. Willy Pompilus de l’état d’Illinois
M. Philippe Bien-Aimé de la Floride
M. André Jacques Philippe de l’état du Massachusetts
La sénatrice Norma Jean-Claude Forté du Canada
Le député Jean Robert Placide de l’état du Connecticut
Le député Organier Laurent de la Floride
Le député Sylvestre Lindor de la Floride Le politologue
Ilrick Fils-Aimé de Boston Le coordonateur des Iles Vierges
M. Vilarson Belfort Le coordonateur de Chicago
M. Joseph Dieujuste Kérizareth
M. Vauze Declasse M Duval Occéan
M. Simpson Lybérus
Francky Feiranvil
Mrs. Daphne Campbell State Representative Elect
Dr. Ketia Cadeau professeur à St-Thomas University

Un grand merci à tous les membres du Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre pour leur esprit d’initiative et leur détermination à organiser cette rencontre :

M. Samson Duverger
M. Yves Bonnet
M. Homerre Belfort
Pasteur Wilson Jean-Claude
Député François Sergo Metellus
Mlle Angie Bell
M. Jean Luc Bell Prince Bobby
La sénatrice Youseline Augustin Bell du Cap-Haïtien
Madame Claudine Janvier de Port-au-Prince
Madame Majolie Zéphirin
M. Jacob François, coordonateur du Comite Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer.

Un merci spécial va à tous les membres de la presse qui nous ont aidés à médiatiser et à couvrir cet évènement ; particulièrement notre collaborateur et ami fidèle et dévoué, le président directeur général de Radio Unité M. Jean Elie TH. Pierre-Louis, M. Patrick Eliancy et Guy Salvador de Island TV, M. Moise Pierre Richard.

A la fin de la rencontre, le candidat malgré une journée longue et ardue a gardé son sourire et avant de quitter la salle, a pris le soin de saluer individuellement chaque membre de l’assistance avec pour chacun un mot gentil. Un sourire de satisfaction et de fierté planait sur tous les visages.

Diner informel

Les membres officiels du Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outres ont eu le soir même un diner informel en tête à tête avec Me Céant, les membres de sa famille présent et les membres de son équipe de campagne : l’ancien ministre de la culture M. Hancy Pierre-Louis, et l’ancien vice président de la banque centrale M. Guy Paul.

Suite à la rencontre du 23 octobre 2010 et la réunion privée qui s’est déroulée entre les membres du CFHLO et le candidat à la présidence Me Jean Henry Céant, le comité a décidé à l’unanimité d’accorder son soutien à Me Céant ; un candidat brillant, qualifié et soucieux du bien-être de son pays et de son peuple.

Le Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer est du coté de l’opinion publique qui reconnait en Me Céant un candidat fiable et qualifiés avec des chances réelles de gagner la compétition électorale présidentielle de novembre prochain. Le candidat de Renmen Ayiti, Me. Jean Henry Céant est donc l’homme du moment.

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