mardi 2 juin 2009
NOTE DE SYMPATHIE A LA FAMILLE JEAN-JUSTE
CONFERENCE DES PASTEURS HAITIENS (COPAH)
La Conférence des Pasteurs Haïtien (COPAH) s’incline devant les dépouilles du révérend père Gérard Jean Juste décédé le 27 Mai dernier. La COPAH salue la mémoire de cet homme extraordinaire qui ne marchandait jamais ses efforts pour voler au secours des autres, notamment les masses défavorisées, méprisées et abandonnées. Dans le même temps, la COPAH veut rendre hommage au père Jean Juste qui avait consacré quasiment toute sa vie a la défense des droits de l’homme en général et des refugiés en particulier. En tant que ministre de Dieu, il s’était donne pour mission d’accompagner les plus faibles, les oubliés, les plus démunis. Militant politique et des droits humains de longue date et en qualité de disciple de Christ, il avait compris la mission qui lui était confié ; c’est pourquoi, il s’était fait le porte-parole des sans voix.
A tous ceux qui pleurent le départ de père Jean Juste et qui éprouvent de la douleur, la COPAH veut leur rappeler que la mort et la vie sur cette terre sont deux éléments insociables. Aussi, veut-elle souligner qu’elle partage leurs souffrances et comprend le départ de père Jean Juste constitue une perte énorme et un vide qu’on ne pourra jamais combler. Vos cris de douleurs témoignent de manière éloquente l’amour que vous aviez éprouvé pour celui qui s’était dévoué à servir la cause de l’évangile du Christ. Vous ne l’aviez pas aimé sans raison ; son engagement ferme et inébranlable à défendre les opprimés est l’élément déterminant qui lui a attiré votre sympathie et votre soutient.
Aujourd’hui le père Jean Juste s’en va, mais il n’est pas mort ; autrement dit, il vient tout juste d’entamer la deuxième étape vers la vie sans peine ni douleur pour laquelle il a beaucoup lutté. Quelqu’un qui aimait la vie, qui luttait pour la vie, qui se battait pour une meilleure vie pour les autres et qui aimait ses prochains ne peut pas mourir. Quelqu’un qui accomplissait autant de bien en faveur les autres par amour du prochain ne peut que voyager pour continuer à vivre a travers tous ceux qui aiment et travaillent pour le bien. Gérard Jean Juste n’est pas mort ; car ses bonnes œuvres sont bien vivantes et témoignent encore de son amour de la parole de Dieu. Il est quelque part ou la mort ne prévaudra.
A l’occasion de la disparition du père Gérard Jean Juste, la COPAH présente ses sympathies a sa famille, ses amis, ses allies, ses partisans et sympathisants, a la communauté haïtienne du sud de la Floride et aux membres de l’organisation Veye Yo (Surveillez les) et a Fanmi Lavalas.
Rev. Abraham Loreston
Président
www.fanmilavalas.net
La Conférence des Pasteurs Haïtien (COPAH) s’incline devant les dépouilles du révérend père Gérard Jean Juste décédé le 27 Mai dernier. La COPAH salue la mémoire de cet homme extraordinaire qui ne marchandait jamais ses efforts pour voler au secours des autres, notamment les masses défavorisées, méprisées et abandonnées. Dans le même temps, la COPAH veut rendre hommage au père Jean Juste qui avait consacré quasiment toute sa vie a la défense des droits de l’homme en général et des refugiés en particulier. En tant que ministre de Dieu, il s’était donne pour mission d’accompagner les plus faibles, les oubliés, les plus démunis. Militant politique et des droits humains de longue date et en qualité de disciple de Christ, il avait compris la mission qui lui était confié ; c’est pourquoi, il s’était fait le porte-parole des sans voix.
A tous ceux qui pleurent le départ de père Jean Juste et qui éprouvent de la douleur, la COPAH veut leur rappeler que la mort et la vie sur cette terre sont deux éléments insociables. Aussi, veut-elle souligner qu’elle partage leurs souffrances et comprend le départ de père Jean Juste constitue une perte énorme et un vide qu’on ne pourra jamais combler. Vos cris de douleurs témoignent de manière éloquente l’amour que vous aviez éprouvé pour celui qui s’était dévoué à servir la cause de l’évangile du Christ. Vous ne l’aviez pas aimé sans raison ; son engagement ferme et inébranlable à défendre les opprimés est l’élément déterminant qui lui a attiré votre sympathie et votre soutient.
Aujourd’hui le père Jean Juste s’en va, mais il n’est pas mort ; autrement dit, il vient tout juste d’entamer la deuxième étape vers la vie sans peine ni douleur pour laquelle il a beaucoup lutté. Quelqu’un qui aimait la vie, qui luttait pour la vie, qui se battait pour une meilleure vie pour les autres et qui aimait ses prochains ne peut pas mourir. Quelqu’un qui accomplissait autant de bien en faveur les autres par amour du prochain ne peut que voyager pour continuer à vivre a travers tous ceux qui aiment et travaillent pour le bien. Gérard Jean Juste n’est pas mort ; car ses bonnes œuvres sont bien vivantes et témoignent encore de son amour de la parole de Dieu. Il est quelque part ou la mort ne prévaudra.
A l’occasion de la disparition du père Gérard Jean Juste, la COPAH présente ses sympathies a sa famille, ses amis, ses allies, ses partisans et sympathisants, a la communauté haïtienne du sud de la Floride et aux membres de l’organisation Veye Yo (Surveillez les) et a Fanmi Lavalas.
Rev. Abraham Loreston
Président
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