NÒT POU LAPRÈS

Fanmi Lavalas kòmanse jodi dimanch 29 Novanm 2009 la, yon seri manifestasyon pasifik pou fòse otorite elektoral yo ak Gouvėnman Preval Belrive la reyentegre Fanmi Lavalas nan konpetisyon elektoral la epi nan tout lavi politik nasyonal la.

29 Novanm raple nou masak ki te fėt sou pèp la, sèlman paske li te vle vote. Jodi Ya se yon lòt fòm vyolans ke responsab yo ap fè sou pèp Lavalas la, lè yo anpeche yo vote.

Vote se yon dwa politik fondamantal. Tout revandikasyon yo te ekri nan pankat san vyolans moral ak fizik. Moun te ka li slogan sa yo:

Nan demokrasi pa dwe gen eksklizyon
Se pa Prezidan Aristid ki mete tèt li Kote li ye ya, yo pa dwe ap fè nou tout ekzijans sa yo pou patisipe nan eleksyon.
Pouki sa yo ekzije pou lèt Prezidan Aristid la otantifye nan yon konsila, alòske lèt KEP La pat pase pa vwa diplomatik?
Trèt pa trete, engra pap janm gra! Rayi tout sa ki trayi.

Apre siting sa a, genyen kèk kad Fanmi Lavalas tankou Mèt Bell Angelot, Pastė Hudson Jean Baptiste, ansyen depite James Derosin, kite fè yon konvèsasyon ak kèk reprezantan Minustah ki te prezan.

Militan Lavalas yo ap mande pouki sa NasyonZini pa favorize yon dyalòg
ak tout pati politik nan peyi ya san distenksyon. Fanmi Lavalas bezwen
espas demokratik kote li ka denonse fwistrasyon l, tankou anpil manm yo
te brile kay yo ak biznis yo, epi yo pa janm dedomaje yo, alòske Latòti te
favorize patizan pal yo nan sans sa a. Jouk jounen jodi ya, nou gen militan ki nan prizon epi an ekzil tankou reprezantan nasyonal la.

Nan jou kap vini yo Fanmi Lavalas Branch Nò, va anonse ki lòt aktivite pasifik kap fèt.

yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm ansanm nou se Lavalas.

Pou kowòdinasyon an: Pastè Hudson Jn Baptiste




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CONFÉRENCE DES PASTEURS HAÏTIENS

NOTE DE PRESSE

La Conférence des Pasteurs Haïtiens (COPAH) prend note de la décision du Conseil Electoral Provisoire d’exclure des prochaines élections législatives de nombreuses formations politiques légalement reconnues dont L’Union, Fanmi Lavalas, ESKANP, KONBA et le PDCH. Les raisons évoquées par le CEP pour écarter ces partis de la course électorale paraissent très fantaisistes et traduisent une volonté manifeste du pouvoir en place à faire main basse sur l’ensemble des institutions du pays par toutes sortes de manoeuvres. La démarche du CEP obéit à la volonté d’un pouvoir qui, après avoir détruit l’espoir et le rêve de tout un peuple veut se faire passer comme le sauveur de la nation. C’est une preuve en plus que le régime en place et son CEP ne peuvent organiser aucune élection crédible et démocratique. Les élections, c’est avant tout l’affaire des partis politiques et les électeurs. Peut-on espérer une forte participation aux élections quand des partis réputés forts en termes de popularité sur le terrain sont exclus de la course ? Les élections sont une exigence démocratique, la démocratie est aussi synonyme d’alternance à travers d’un processus électoral crédible, inclusif et non partisan. L’alternance ne signifie pas « changement dans la continuité du statu quo ».

Comment le CEP peut-il justifier sa décision d’exclure des prochaines élections des partis reconnus alors qu’il agrée des formations nouvellement créées ? Déjà, la façon dont ce CEP a été constitué par l’exécutif n’inspirait pas confiance ; par conséquent, personne ne s’attendait à ce qu’il agisse autrement. Il n’y a donc plus de doute que le Conseil Electoral Provisoire est entrain de tout mettre en œuvre pour faciliter le plan de ceux qui veulent établir et renforcer un pouvoir personnel au détriment des intérêts du pays. Cependant, la COPAH veut attirer l’attention des différents secteurs de la vie nationale sur le fait que le pouvoir en place, par ces manœuvres déloyales et inconstitutionnelles, veut entrainer le pays dans une autre crise plus grave que celles qu’on en a connues jusqu’à présent. C’est pourquoi, la COPAH exhorte le CEP à faire le retrait de sa décision qui ne se fonde d’ailleurs sur aucune logique constitutionnelle et légale en vue de faciliter la participation de tous les partis reconnus et régulièrement inscrits sur ses registres électoraux. Le moment n’est plus à l’orgueil ni au faux semblant, mais à la sagesse et la clairvoyance politique pour éviter au pays de connaitre des moments plus désastreux que ceux provoqués par l’ambition démesurée du pouvoir en place qui veut tout concentrer entre ses mains.

L’exclusion d’un ensemble de partis enracinés dans la population par le pouvoir en place et son CEP, montre clairement qu’ils sont entrain d’appliquer dangereusement une politique de discrimination contre les masses. Il s’agit d’une tentative de tenir les masses hors du circuit politique afin de favoriser la domination sauvage de la caste sociale qui contrôle tout dans le pays depuis l’indépendance nationale. C’est donc une autre forme d’apartheid. L’apartheid des temps modernes où la majorité de la population n’a pas accès à l’éducation, aux soins de santé, à l’alimentation, au logement ni aux infrastructures de base. Le régime en place ne cherche qu’à satisfaire aux caprices et humeurs des institutions financières internationales qui définissent la stratégie de la politique économique à mettre en œuvre en Haïti alors que la population haïtienne passe aujourd’hui de la pauvreté digne à la grande misère. Il est clair que le pays est entré depuis un certain temps dans une dynamique de pouvoir personnel. Aucun pays emmené par un pouvoir personnel ou au service d’un clan, ne peut raisonnablement prétendre se développer et construire la démocratie.

Ce pouvoir sans vision ni plan de développement pour le pays issu des élections de 2006 continue d’agacer fâcheusement la population par la politique de copain et de coquin qu’il mène depuis son avènement. La seule stratégie de l’équipe au pouvoir consiste à détruire le caractère de l’homme haïtien, le déshumaniser et l’affamer pour ensuite se poser en seigneur. Ce pouvoir n’agit pas sur les facteurs qui engendrent la misère et la pauvreté. Au contraire, il les entretient et retient la population dans cette misère insoutenable et intolérable où les prix des produits de consommation courante continuent de grimper de manière vertigineuse. Trop, c’est trop. Oui c’en est trop. Il faut un éveil des consciences pour barrer la route à un pouvoir irresponsable, réactionnaire, sans inspiration qui a échoué dans tous les domaines et qui veut se présenter, par des artifices politiques, comme l’alternative à son propre échec. L’attitude irresponsable du pouvoir et de son CEP, constitue une menace grave sur l’avenir de la démocratie en Haïti. Après avoir réalisé des élections sans électeur en Avril et Juin dernier, le pouvoir en place et son CEP se préparent à frapper une nouvelle fois. C’est pourquoi, consciente du danger qui plane sur la démocratie et sur l’avenir du pays, la COPAH appelle tous les secteurs qui s’opposent aux dérives anticonstitutionnelles et antidémocratiques du pouvoir en place à conjuguer tous leurs efforts en vue de faire échec au plan du président visant à diriger le pays avec ses copains et dans le seul intérêt d’un petit groupe d’affairistes. Le pays appartient à tous les haïtiens. Au-delà de leur appartenance politique, idéologique, économique et sociale, ils doivent pouvoir y vivent et participer à sa gestion.

Dans moins de deux ans, le mandat du président touchera à sa fin. Au lieu d’utiliser toutes sortes d’astuces pour passer le pouvoir à ses proches, il devrait plutôt créer les conditions nécessaires à la tenue de bonnes élections qui éviteraient au pays de plonger dans le chaos. Aujourd’hui, ce dont le pays a besoin, ce ne sont pas des femmes et des hommes qui utilisent des astuces pour se maintenir au pouvoir à n’importe quel prix alors que la population crève de faim et périt dans le désespoir, mais la mise en place d’institutions fortes, capables d’assurer et de garantir l’amélioration des conditions de vie des plus pauvres. Le pays a besoin d’une équipe d’hommes et de femmes compétents et dynamiques, porteurs d’une vision futuriste, renonçant à leurs intérêts de clan pour concentrer leurs efforts sur le développement du pays.

Après plus de deux cents ans de gestion politique désastreuse, de gaspillage de ses ressources et de démagogie, le pays en a marre et veut vraiment espérer des lendemains meilleurs. Le pays a besoin de décoller et de sortir de l’ornière du sous-développement chronique. C’est pourquoi, les prochaines élections doivent servir d’éléments catalyseurs vers une vraie transition démocratique marquée par le respect des droits fondamentaux et l’amélioration substantielle des conditions de vie de la population.



Rév. Abraham Loreston
Président





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DÉCLARATION SPÉCIALE SUR LE COUP D’ÉTAT AU HONDURAS

Nous, partis de gauche d’Amérique latine, d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Océanie, réunis en cette Rencontre internationale de partis de gauche, rejetons le coup d’État perpétré contre le gouvernement constitutionnel du pouvoir citoyen du président du Honduras, Manuel Zelaya Rosales.
Reconnaissant la situation de répression, de persécution et d’assassinats contre le peuple hondurien, ainsi que le harcèlement militaire permanent qui assiège le président Manuel Zelaya Rosales et qui marque la rupture de l’État de droit en la République sœur du Honduras;
Nous exprimons notre soutien aux actions du front national de résistance du Honduras dans sa lutte pour la restitution de la démocratie.
Nous revendiquons et appuyons le droit souverain du peuple hondurien de convoquer une Assemblée nationale constituante devant mettre en place la démocratie directe et assurer la plus large participation politique du peuple dans les affaires publiques.
Nous dénonçons l’intervention des États-Unis et de leurs complices de la droite réactionnaire nationale et internationale, ainsi que leur implication dans un coup d’État qui vient entraver la construction de la démocratie au Honduras et dans le monde.
Nous condamnons et répudions la violation permanente des droits humains, politiques et sociaux, ainsi que la violation de la liberté d’expression, encouragée et menée par les pouvoirs de fait, par la Cour suprême du Justice, par le Congrès national de la République et par le ministère de la Défense et la Sécurité depuis le 28 juin 2009.
Nous réitérons notre exigence auprès des gouvernements et des organismes internationaux, de ne pas reconnaître la légalité des élections générales prévues pour le 29 novembre 2009 au Honduras. Celles-ci ne présentent en effet pas les garanties constitutionnelles et politiques de légalité nécessaires pour un processus électoral juste, transparent et fiable, sans observateurs, et sans la crédibilité nécessaire des résultats. Ce processus électoral a déjà été répudié par la majorité des gouvernements, des organismes internationaux et de l’opinion publique internationale.
Nous entendons proposer et encourager la tenue d’un procès international contre les putschistes et leurs complices auprès du Tribunal pénal international, pour les actions illégales, abus et crimes perpétrés; mettre en œuvre des actions visant à dénoncer, auprès des organismes correspondants et dans le cadre du Droit international, la violation des droits et l’enlèvement dont a été victime le président légitime du Honduras, Manuel Zelaya Rosales. Nous estimons qu’il importe d’établir la responsabilité des acteurs ayant participé directement et en interne à la commission de ce crime.
De même, nous exhortons les organismes nationaux et internationaux de défense des droits humains à soutenir ces mesures et maintenir la campagne de dénonciation et de vigilance, grâce à des observateurs permanents, face aux violations répétées et incessantes des droits humains, et notamment la persécution et le licenciement politique des membres et sympathisants de la résistance et des partisans du président Manuel Zelaya.
Nous répudions et condamnons les attaques dont ont été les cibles les représentations diplomatiques de la République fédérative du Brésil et de la République Argentine, ainsi que les ambassades des pays membres de l’Alliance bolivarienne pour les Peuples de notre Amérique (ALBA). Et nous nous solidarisons tout spécialement avec l’attitude ferme et héroïque du personnel de ces missions diplomatiques, victimes du harcèlement et de l’hostilité des putschistes.
Nous convenons d’établir des coordinations entre partis de gauche du monde entier, afin de hâter la destitution du gouvernement de fait et le retour du président constitutionnel, ainsi que le droit du peuple hondurien à créer installer une assemblée nationale constituante qui permette d’approfondir la démocratie directe.
Nous exhortons les gouvernements, les organismes internationaux et les entreprises à maintenir et intensifier les sanctions économiques et commerciales contre les acteurs complices ou alliés du coup d’État, ainsi qu’à garder une attitude vigilante face aux contacts identifiés comme putschistes et fonctionnaires du gouvernement de fait. Et à prendre également les mesures adéquates de contrôle migratoire pour empêcher le déplacement de personnes d’un pays à l’autre pour y exercer le droit de vote et ainsi altérer les résultats électoraux grâce au processus dit de « transfert de votes ».
Nous convenons de ne pas reconnaître les observateurs internationaux et nationaux des élections à venir, confabulés pour donner légitimité à un processus électoral dépourvu de caractère légal et de légitimité. Nous leur exigeons de ne pas observer un processus nul et non-avenu et de veiller plutôt à la restitution de l’État de droit démocratique et du gouvernement constitutionnel du pouvoir citoyen du président du Honduras, M Manuel Zelaya Rosales.

À Caracas, le 21 novembre 2009





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PREZIDAN ARISTID DWE RETOUNEN AN AYITI, ANVAN ELEKSYON 2010 YO

Pèp Ayisyen leve kanpe pou n defann dwa nou. Demokrasi pa ka gen eksklizyon. Nou mande solidarite tout moun ak tout pèp sou latè kap defann kan pèp la, pou ede Fanmi Lavalas nan lit pou yon vrè demokrasi blayi nan peyi dAyiti.

Li klè nèt ke Prezidan Preval ap pase demokrasi ya anba pye poul regle pwòp zafèl.

Annavan pèp vanyan pou n kontinye lit la, la jiska laviktwa final.

Annavan viktwa a se pou pèp ki vanyan li ye. Nou mande solidarite tout militan konsekan ki pa dèyè pouvwa pou regle zafè pòch yo.

Annou mache pasifikman pou dwa nou ka respekte. Pa bann e pa pakèt, ann mande lesepase ya pou Titid retounen.

Lavalaseman ann reklame dwa nou, nou dwe al nan eleksyon, Titid dwe retounen.

Prezidan Preval konnen trè byen se yon mezi politik li dwe pran nan ka espesyal sa a.

Sete yon desizyon politik antikonstitisyonèl kite voye prezidan Aristid nan Kanpe lwen, se fòs mobilizasyon tout manm, patizan ak senpatizan, Fanmi Lavalas ki pou ekzije gouvènman Preval/Bellerive la bay lesepase pou ansyen prezidan Aristid retounen nan Peyi ya. Epi aksepte pati Fanmi Lavalas al patisipe nan eleksyon 2010 yo.

Menm si yo pè fòs Lavalas la, men se nan yon demokrasy nou ye, nou dwe ekzèse dwa nou.

Nap di ak tout fòs nou, Mobilizasyon manch long, san pran souf :

Titid dwe retounen anvan eleksyon 2010 yo



Eleksyon 2010

Nan 10 depatman

Lavalas 10/10

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NÒT POU LAPRÈS

RETOU A PI PRE TOUJOU AK TOUT SIPÒ ENTÈNASYONAL NOU GENYEN, SI NOU MOBILIZE

Yon lòt fwa ankò nou salye tout zanmi, kamarad nou yo, e nap pwofite anonse piblik la an general an patikilye manm, patizan ak senpatizan Fanmi Lavalas yo, ke gen yon rezolisyon ki soti nan gwo rankont ant 60 òganizasyon ak pati politik nan 40 peyi kite fèt nan vil Karacas nan jou kite 19 a 21 Novanm 2009.

Rezolisyon Karacas la ki se yon kontra ke Gouvènman Chavèz la pran ak tout delege ak peyi kite nan rankont la. Nan atik 6.3 ak 6.4, Kowalisyon an kondane koudeta 29 fevriye 2004 e yo di peyi yo ap akonpaye pèp Ayisyen an nan lit pou lidè inkontestab pèp la Doktè Jean Bertrand Aristide tounen nan peyi l pi vit ke posib.

Résolution de Caracas


Kòm Prezidan Aristid fè konnen nan yon nòt ki fenk soti ke lap tann ankò ke gouvènman Prezidan Preval la bay Lesepase ya pou l retounen nan peyi l.

Demande d'autorisation d'atterrissage du Président Aristide

Autre lien


Antadan Gouvenman Prezidan Chavez la ap travay sou posibilite yo, ke si Prezidan Aristid vle antre nan Venezuela, yo deja ap tann li.

Anplis de enfòmasyon sa a, Komite Fanmi Lavalas Ayisyen Kap Viv Lòtbò Dlo, mande tout moun pou yo pa sispann mobilize toutotan chèf la pa mete pye l sou tè dayiti, e menm lè li retounen fòk nou kontinye mobilize paske fòs putchis la rete byen djanm.

Se pou nou tout, kontinye mande ak mobilize Prezidan Preval pou lesepase li pa vle bay pou yon avyon soti Afrik Disid pou li ateri an Ayiti ak Prezidan Aristid.

Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm ansanm, nou se Lavalas.





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VERTIERES

La Bataille de Vertières ne figure même pas comme une parenthèse dans l’histoire Napoléonienne raconté par les concitoyens de cet empereur français. Non pas parce que cette bataille ne fut pas importante à la France, car l’enjeu réel était le maintient d’une tête de pont qui pourrait aider la puissance coloniale française de l’époque à maintenir le contrôle des terres occupées et à coloniser toute la partie centrale du continent Nord Américain, cette vaste territoire qu’on appelait à l’époque, La Louisiane, et qui représentait presque le quart de l’actuel territoire Américain.

Le territoire de la Louisiane vendu aux Etats-Unis par la France pour la bagatelle somme de 15 millions de dollars (ou 60 millions de francs) comprenait en totalité quatorze états américains et deux provinces Canadiennes: La totalité des territoires des états d’Arkansas, Missouri, Iowa, Oklahoma, Kansas, Nebraska, une partie des terres du Minnesota situées à l’ouest du fleuve Mississippi, la majorité de North Dakota, presque tout le South Dakota, le nord-est du Nouveau Mexique, des portions des états de Montana, Wyoming, et Colorado à l’est de la division Continentale, et la Louisiane à l’ouest du Mississippi, y compris la Nouvelle Orléans. (Le sud de l’Oklahoma et la portion sud-est du Kansas et de la Louisiane était encore revendiqué par l’Espagne durant la période de cette vente.) En plus, cette transaction contenait de petites portions de terres qui deviendront par la suite, une partie des provinces Canadienne d’Alberta et de Saskatchewan. En tout, 23% du territoire actuel des Etats-Unis, soit, 2 millions, 147 mille kilomètres carrés (2.147.000 km2).

La foudre de guerre française que représentait Napoléon Bonaparte à l’époque, ne pouvait pas projeter une vision historique globale à long terme et a préféré succomber aux intérêts à court terme des avatars du Club Massiac, des réflexes raciaux négatifs et des mouvements mesquins de la petite politicaillerie internationale pour attaquer dans l’embryon les aspirations du visionnaire Toussaint Louverture, ingénier du même coup sa perte et l’évanouissement d’une empire française prospère.
Pourquoi la guerre de St Domingue ne figure-t-elle pas à coté de la campagne de Russie comme les deux pires erreurs de Napoléon Bonaparte ? Tout simplement parce que l’histoire de Napoléon est constamment raconté par des Français fanatiques qui n’admettraient jamais la myopie de leur empereur qui allait être battu militairement sur deux importants fronts : l’ile de St Domingue et la Russie. A St Domingue ils ont invoqué la fièvre Jaune et en Russie le froid.
Waterloo est la conséquence immédiate de l’inconséquence de Napoléon Bonaparte à St Domingue. Non seulement qu’il ait décidé d’envoyer ses troupes les mieux aguerries vers la défaite et la Mort à St Domingue, il a pareillement laissé toute la latitude aux Anglais qui en ont profité pour resserrer sur lui l’étau après la débâcle de Russie.
En 1803, la France demandait 60 millions de francs comme prix de vente de 2.147.000 km2 sans tirer même un coup de feu. En 1825, cette même France exigeait 150 millions de Francs pour 28.000 km2. Un tiers moins d’argent pour dix fois plus de terre, Quelle mathématique !

En histoire, les « si » ne sont pas de mise, mais pour une fois, si Napoléon avait accepté le principe des idéaux de 1789 pour abolir l’esclavage dans le monde et travailler avec Toussaint Louverture à cette fin; si la France avait accepté le principe de l’égalité des hommes et des races; si Napoléon avait accepté le principe des libres échanges; si Napoléon avait accepté de travailler avec Toussaint Louverture plutôt que de le combattre, que serait le monde d’aujourd’hui ? Probablement, Vertières n’aurait pas eu lieu, l’Amérique serait probablement aussi française que le Québec. N’aurait-on même pas une statue équestre d’un autre empereur sur la place des héros au Champs-de-Mars de Port-au-Prince ?

Mais la réalité est que Vertières a eu lieu et nous avons gagné cette bataille. Leclerc, le général en chef de l’armée expéditionnaire, et non des moindres, le beau-frère de Napoléon même, resta sur le terrain.
Les historiens français racontent que Leclerc, un homme au fort de sa jeunesse (dans la trentaine) succomba de la fièvre jaune. Cependant il est bruit qu’à coté des généraux Debelle et Devaux qui périrent à la Crête-à-Pierrot, le capitaine-général Leclerc, fut blessé au cours de cette bataille. Voilà pourquoi Rochambeau abandonnerait la bataille de la Ravine-à-Couleuvre qui se déroulait concomitamment pour se porter à la Crête-à-Pierrot. Ce serait aussi pourquoi la présence de Leclerc ne se manifestera dans aucune des batailles qui suivirent celle de la Crête-à-Pierrot jusqu’à ce qu’il périt de la suite de ses blessures. Dès la Crête-à-Pierrot, le féroce général français Rochambeau avait effectivement remplacé Leclerc à la tête de l’armée française qui poursuivit la guerre de St Domingue.

"L’esprit féroce et sanguinaire de Rochambeau était trop pour le cœur tendre de Toussaint, ou les manières nobles de Christophe. Seulement Dessalines était à la hauteur de Rochambeau." (Wells Brown p. 111) .Ce qui nous conduisit tout droit à l’érection glorieuse du monument historique que représente la victoire de Vertières pour le monde civilisé.

La bataille de Vertières représente pour nous haïtiens, une épopée glorieuse qui restera à jamais gravée dans les annales de notre histoire nationale. Sa célébration est pour nous une opportunité de nous remémorer de la lutte héroïque menée par nos ancêtres pour l'indépendance, la défense des valeurs sacrées du pays et la préservation de l'identité de notre nation.

La commémoration de la bataille de Vertières est un moment pour tirer les enseignements de l'histoire de la lutte pour l'indépendance et renforcer la volonté et l'adhésion des générations actuelles et montantes au processus d'édification d'une Haïti unifiée, moderne, démocratique et prospère.

Le Comité Fanmi Lavalas des Haïtiens d’Outre-mer profite de cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux héros de Vertières pour leurs sacrifices et actions héroïques pour le recouvrement de l'indépendance de notre nation.
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NÒT POU LAPRÈS

Madi 17 novanb 2009

Komite Fanmi Lavalas Ayisyen Kap Viv Lòt Bò Dlo (CFLHO) retire chapo l byen ba poul salye tout konpatriyòt, patizan ak senpatizan òganizasyon Fanmi Lavalas yo. Komite ya ap anonse piblik la ke, nan kad travay mobilizasyon lap fè pou bay òganizasyon an jarèt atravè lemond antye. CFLHO te jwenn yon envitasyon pou al patisipe nan yon konferans entènasyonal nan Peyi Venezuela.

Yon delegasyon konpoze de Senatris Youseline Bell, Jacob François, Fritzner Pierre kap viv nan lakou nouyòk, ap pran vòl Mėkredi 18 novanb 2009, lap retounen dimanch pwochen kap 22 novanb.

Delegasyon an pral brase lide ak mande èd lòt peyi yo pou:

1-ede peyi ya prepare pou rechofman planèt la, ak dezas natirèl yo ki koze anpil lanmò nan peyi ya.
2-ede Lidė Karismatik la, Dr. Jn B Aristid, ak tout lòt ekzile politik yo retounen nan peyi yo.
3-Jwenn ankadreman pou viktim koudeta 2004 yo nan kad bilateral
4-ede Fanmi Lavalas goumen pou yon vrè demokrasi tabli nan peyi ya.
5-Ede nou konbat tout kalite eksklizyon.
6-Ede nou kontinye fè edikasyon sivik pèp la sou enpòtans pou konsève souverènte nasyon an.
7-Kontinye ede peyi ya sou wout devlopman, nan kad enėji, wout, kominikasyon, travay, ledikasyon elatrye.

Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm ansanm, nou se Lavalas.

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AJANDA POLITIK POU TOUT LAVALASYEN:DIRIJAN - MANB OUBYEN MOUN KI VLE KANDIDA NAN ÒGANIZASYON FANMI LAVALAS

TOUT LIDÈ LAVALAS DWE ANGAJE YO NAN FÈ RESPEKTE PWOGRAM POLITIK LAVALAS LA KI NAN LIV BLAN AN KI RELE "VIZYON POU SOSYETE YA" AK IDEYOLOJI FANMI YAN, SPESYALMAN SA ATIK 5 NAN CHAT FANMI LAVALAS LA DI.

Tout dirijan ak moun ki vle vin yon kandida sou banyè òganizasyon Fanmi Lavalas dwe gen yon konpòtman ki klè ke tout moun ka konprann. Kouwè jan atik 52 a 53 nan chat Fanmi Lavalas la deklare l e jan li ye nan liv blan.

Atik 52
Yon kandida se yon sitwayen ki:
a) Ap defann lajistis, lapè ak dwa moun;
b) Vle travay pou pòv yo chita bò tab devlòpman an;
c) Kwè nan eksperyans 16 desanm 1990 la;
d) Konbat diskriminasyon sosyal;
e) Ap travay tout bon pou fè yo konnen Fanmi Lavalas la epi pou fè Òganizasyon yan vanse;
f) Montre li bò kote Reprezantan nasyonal la ki li menm fèl konfyans;
g) Respekte desizyon yo pran nan Òganizasyon an.

Atik 53
Fòk kandida a montre:
a) Li se yon bon lidè nan Òganizasyon an ak nan zòn kote li ap reprezante ya;
b) Li se yon moun dwat;
c) Li kapab fè travay la;
d) Li kapab patisipe nan brase lide epi travay ansanm ak lòt moun.

Yon moun paka Lavalas si ou pa yon bon patriyòt, yon bon Lavalas se yon bon sitwayen. Yon moun paka di ke se Lavalas ou ye lè wap pale nan non yon lòt òganizasyon, Lavalas se Lavalas. Estrateji lòt non òganizasyon simen konfizyon nan kan pèp la. Fòk nou tout sonje ke Fanmi Lavalas se Fanmi Lavalas. Komite Fanmi Lavalas Ayisyen Kap Viv Lòtbò Dlo ap pwofite fè soti agenda ke li ta renmen tout dirijan ak tout moun ki di se lavalasyen yo ye e ki gen pou ta vin kandida yo dwe swiv. Nap toujou kapab ajoute sou pwen sa yo.
1-Travay pou mete yon inite total, oubyen jwenn yon konpwomi politik reyèl nan òganizasyon an. Obsève modòd trèv la pou jiskaske nou mete oganizasyon an djanm sou tout nivo.
2-Rete solidè ak ideyoloji Lavalas la toupatou, Nou pa bezwen chanje non ni al fè vye alyans pou 2 rezon : Zanmi w ap toujou avè w; lenmi yan pap janm fèw konfyans ankò. Modòdla se R.R= Rete Rèd nan Fanmi yan e pratike sa atik sa a di.

Atik 5
Òganizasyon sa a travay pou li:
a) pèmèt tout Ayisyen fè pwogrè nan kesyon politik, ekonomi, sosyete ak lakilti nan yon Leta ki chita sou lalwa;
b) fè tout Ayisyen rive gen menm chans;
c) fè yo devlope nan diyite ak respè dwa yo;
d) tabli yon politik ki ap bon pou tout sosyete ya;
e) ede manb li yo pase nan eleksyon pou kèlkeswa pòs la;
f) Kore pwogram manb Òganizasyon an te bati ya, fè yo konnen li tout kote epi fè yo swiv li.

3-Pou leta repare devan fondasyon an ak kay ansyen Prezidan Jean Bertrand Aristide la.
4-Mobilize pou retou a ka fèt pi vit, epi se pou gouvènman Prezidan Preval la ban nou dat retou wa, e li dwe fèt anvan Prezidan Preval ale.
5-Fè mobilizasyon an mache nan konvoke reyinyon san pran souf.
6-Reòganize ti fanmi yo, ak kreye plis ti fanmi nan tout kote
7-Mobilize pou yo lage prizonye politik nou yo,
8-Mobilize pou pèp la jwenn bon jan lekòl, manje, laswenyaj, bon jan enfrastrikti, wout ,limyè, dlo potab, epi travay.
9-Revandike dedomajman pou viktim koudeta 29 fevriye 2004 yo.
10-Mobilize pou Lavalas gen mo pal nan tout desizyon kap pran sou do peyi ya.
11-Mobilize pou manb òganizasyon yan eli nan eleksyon san magouy ki dwe fèt nan peyi ya.
12- Repekte konsèp ki etabli nan òganizasyon an pou ke fanm yo ka gen plas pa yo nan devlopman peyi ya, kòm li deja etabli trè klè nan atik 50 nan chat Fanmi Lavalas la:

Atik 50
Sou chak twa(3)kandida Òganizasyon Fanmi Lavalas nou dwe jwenn yon fi.


PAWÒL SA YO SE BON ANGRÈ KI POU BAY JARÈT AK LIT PÈP LA, NAN BATAY POU CHANJE LAVI SA KI PI PÒV YO.

YON LAVALASYEN SE YON PATRIYÒT. YON BON LAVALASYEN SE YON BON PATRIYÒT. LAVALAS SE LINYON FÈ LAFÒS.




"Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm, ansanm nou se Lavalas".
P.O.BOX 2252 Fort Pierce, Florida 34954
954-670-9209
www.fanmilavalas.net

Yon Sèl Reprezantan Nasyonal, Doktè Jean Bertrand Aristide: Yon Sèl Lavalas: Fanmi Lavalas

Komisyon Pèmanan Mobilizasyon Fanmi Lavalas
Deklarasyon Politik pou 3 novanm 2009 la.
Dat anivèsè Nesans Fanmi Lavalas

Nan lane 1996, yon gwoup moun, te konn rasanble souvan anba yon pye mango nan lakou lakay Prezidan Jean Bertrand Aristide nan Taba sou lidèchip li, pou reflechi ansanm sou ki mannyè pou yo monte yon estrikti politik ki dwe ale travay pou emansipasyon mas yo, entegrasyon sila yo ki pi pòv nan sosyete ya.
Desizyon sa a te voye gwoup moun sa yo ale gade 205 lane annaryè. Kidonk, pou bare lawout esklavaj ke grangrann nou, gran pè nou, tap sibi. Yon gwoup esklav nan mitan yo te revòlte malgre diferans ak divèjans ki tap travèse yo. Yo aksepte chita ansanm anba yon gwo pye bwa nan yon forè nan Nò peyi ya ki pote non Bwa kay Iman. Yo te reflechi ansanm sou libète ak manyè pou mennen Batay nan lespri pou debarase zile ya de sistèm esklavajis la, epi fòje yon peyi ki rele yo chèmèt, chèmètrès, kote tout moun se moun.
Nan jou ki te 3 novanm 1996 la, gwoup moun ki t p reflechi anba pye mango a, pran desizyon ale lanse nan kongo plaj nan vil Jakmèl: estrikti politik sila a te gen pou charye tout revandikasyon mas pèp la epi batize li sou non: FANMI LAVALAS. Poukisa se Fanmi Lavalas yo te rele l? Yo te fè sa nan lespri pou fè n sonje:
- Lè yon moun pale de Fanmi Lavalas sa vle di: li pale de Lafanmi, li pale de SOLIDARITE
- Lè yon moun pale de fanmi: li pale de Tèt ansanm
- Lè yon moun pale de fanmi: li pale de Men nan men
Epi sa fè n sonje ke nou se frè ak sè pou n travay nan benefis youn ak lòt pou avni fanmi yan ka pi bèl. Se lespri familyal sa a k ap ede manm fanmi yan simonte tout difikilte, rezoud tout pwoblèm.

3 Novanm 1996-3 Novanm 2009 sa fè 13 lane depi pèp ayisyen yan ap viv yon solidarite san parèy, 13 lane depi Fanmi Lavalas egziste, 13 lane depi mouvman politik sila a ranmase kòz mas pèp la, revandikasyon pèp la, kòz peyizan yo ak sila yo ki pi pòv yo, 13 lane depi kòd lonbrik pèp ayisyen an mare ak yon sèl lidè: Doktè Jean Bertrand Aristide.
Fanmi lavalas rive nan pouvwa a atravè eleksyon ki se zouti demokrasi. Tout gwoup òganize ki vle pran pouvwa a dwe respekte règ jwèt demokratik yo. Alòs, menm si zouti sa a pa twò efikas pou konbat panzouyis yo, fòk nou kontinye foubil pou n ka fè kadejakè yo ak trèt yo fè bak. Nan tout peyi sou latè, dwa politik mas pèp yo se dwa sakre. Lè l vyole fòk nou rele anmwey, epi batay pou fè respekte l.
Malgre fòs fènwa yo bay mas popilè yo koudeta 2 fwa, men sa pa t anpeche prezidan Jean Bertrand Aristide mete kanpe lekòl nasyonal, lise ak inivèsite nan tout rakwen peyi ya, sant sante, bèl lopital bati, kouran elektrik 24/24 tabli nan plizyè vil peyi ya, renovasyon legliz ak katedral pou chanje figi kèk vil, konstriksyon bèl mache piblik modèn te antreprann, kay modèn te kòmanse bati pou mas pèp la, plas piblik elatriye.
Jounen jodi a, majorite pati politik ki te mare sosis yo ak blan yo pou anpeche pwosesis demokratik la fè chimen l, ebyen yo prèske pa egziste, yo pa sanble anyen paske yo pa t genyen ni ideyoloji ni konviksyon nan demokrasi. Alòs, nan solidarite, Tèt ansanm, men nan men ak nan lanmou youn pou lòt, Fanmi Lavalas kontinye egziste epi n ap toujou egziste malgre menas, tanpèt, platfòm lajan gran rasanbleman ekip tout pou yo a ap prepare pou enfiltre baz Lavalas yo nan lespri pou fè mannèv kenbe pouvwa a nèt al kole epi anpeche doktè Jean Bertrand Aristide retounen nan peyi l.
Fanmi Lavalas, se yon fòs politik enkontounab. Nou deside ke nou pap aksepte sèvi mach-pye pou bay zòt pouvwa a ankò. Veye anwo, veye anba paske estrateji zòt se itilize moun anndan vant nou, detounen nou pou yo ka kenbe pouvwa a nèt nan eleksyon ki pral vini yo.
Pandan 13 lane, nou konnen anpil siksè, men nou konnen kèk echèk tou. Echèk nou yo sèvi nou leson, yo ban nou plis detèminasyon pou n kontinye goumen pou lidè nasyonal nou an retounen lakay li, pou vin mete plis lòd nan mouvman an pou l vin kontinye batay pou chanje move kondisyon lavi pèp ayisyen an, nan kontribisyon l pral bay, nan domèn ledikasyon, kilti, lasante, lajistis elatriye.
Plis detèminasyon tou pou Fanmi Lavalas ka retounen sou pouvwa a. Poutèt sa, nou deside epi nou deklare: nou pap prete okenn moun elektora nou an ankò, aprè pou menm moun sa yo ban nou katon wouj pou n pa patisipe nan eleksyon. bay kou bliye, pote mak sonje. jou fèy la tonbe nan dlo se pa jou a li koule. jodi 3 Novanm sa a tout pitit fanmi an montre nan yon solidarite san parèy, sa ki te pase Lenbe a pap rive Pò-mago. Si nou pa nan eleksyon pap gen eleksyon (Bis).

Dat 3 Novanm 2009 la, se dat nou relanse solidarite ki kenbe n soude youn ak lòt, devlope nouvo strateji ak taktik pou n kontinye goumen pou n defann dwa politik mas yo. Konsa, n ap antre nan planifikasyon chanjman pou mas yo, fè aplike chat Fanmi Lavalas la, epi travay pou monte nivo konsyans politik baz yo pou n ka rive atenn objektif priyoritè nou ki se retou fizik Doktè Jean Bertrand Aristide nan peyi l ak retou Fanmi Lavalas sou pouvwa a.

Tout manm ti fanmi, kowòdinasyon ki nan seksyon kominal yo, nan komin yo ak nan depatman yo, modòd la lanse:
Yon sèl reprezantan nasyonal, Doktè Jean Bertrand Aristide:
Yon sèl Lavalas: Fanmi Lavalas
Inite, Inite, Inite pou retou.
Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm ansanm nou se Lavalas!
3 Novanm 2009


"Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm, ansanm nou se Lavalas".
P.O.BOX 2252 Fort Pierce, Florida 34954
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UN SEUL PEUPLE; LE PEUPLE HAÏTIEN, UNE SEULE FAMILLE; FANMI LAVALAS, UN SEUL ET UNIQUE LEADER NATIONAL; LE DOCTEUR JEAN BERTRAND ARISTIDE

13 ANS DE FANMI LAVALAS

3 novembre 1996, 3 novembre 2009, 13 longues années depuis que Fanmi Lavalas fût engendrée en tant qu’Organisation Politique. 3 novembre 1996, 3 novembre 2009, 13 longues années depuis que le Docteur Jean Bertrand Aristide ait doté le pays d’un solide outil politique.

3 novembre 1996, 3 novembre 2009, 13 longues années depuis que les masses populaires haïtiennes disposent d’un outil adéquat pour les accompagner dans le processus de développement socio-économique.
3 novembre ramène le 13ème anniversaire de la fondation de cette Organisation Politique véritablement versée dans une lutte sans merci en vue de parvenir un jour à l’émergence des ces masses populaires opprimées depuis deux interminables siècles.
En prélude à cette date fétiche, plusieurs figures de proue de la Commission Permanente de Mobilisation de Fanmi Lavalas ont convié les travailleurs de la presse à une conférence le 29 Octobre. Ansyto Felix, Paulette Joseph, René Civil, Me. Jacques Mathelier, Maître Fitznel et la Mambo Georges Euvonie Auguste constitueraient le panel.
L’objectif de cet entretien avec la presse consiste essentiellement à tenir l’opinion publique nationale et internationale informée des activités qui se tiendront à l’occasion du 13ème anniversaire de la création de Fanmi Lavalas.
Des activités socioculturelles et surtout politiques seront organisées dans les locaux de la Fondation Aristide pour la Démocratie à Tabarre, le mardi 3 novembre 2009, de 9 heures AM à 3 heures PM.

«Cette commémoration sera pour nous l’occasion propice d’établir un diagnostique des structures de Fanmi Lavalas. Nous en profiterons aussi pour évaluer nos capacités de mobilisation dans la perspective des élections de 2010 et de 2011. Il convient aussi de rappeler que l’ensemble de ces activités se tiendront sur un fond de solidarité avec le Président Aristide qui doit revenir au bercail pour mettre fin à cet exil vieux de près de 6 ans parce que Lakay se Lakay ».

Tels ont été les propos tenus d’un ton ferme par Ansyto Félix. Monsieur Félix a continué pour faire savoir qu’une pensée spéciale sera destinée à l’endroit de ceux et celles qui ont payé de leur vie leur engagement indéfectible pour la cause du changement, de la démocratie et de la paix.
L’intervenant a fait savoir en outre que cette série d’activités sera dédiée aux prisonniers politiques qui sur la base de leurs convictions politiques continuent de pourrir comme des rats empestés dans les geôles putrides de la démocratie selon la perception de Lespwa. Qui pis est, aucun de ces prisonniers de conscience ne sait au juste ce que lui reproche ceux qui se font la fausse idée que le pays n’appartient qu’à eux et qu’à eux seuls.

« Nous en profitons pour mettre en garde ce Conseil Electoral « bouyon rechofe ». Nous leur faisons savoir clairement que Fanmi Lavalas ne va plus accepter d’être évincée des joutes à venir. La commémoration du 13ème anniversaire de la création de Fanmi Lavalas du 3 novembre prochain sera baptisée Journée de célébration de l’amour indéfectible de Fanmi Lavalas à l’endroit du Docteur Titid », a poursuivi Ansyto Félix. L’intervenant, pour étayer sa thèse a cité Saint Augustin « La mesure de l’amour, c’est d’aimer sans mesure ». Monsieur Félix a fait savoir que ce 13ème anniversaire est l’occasion opportune pour les fervents adeptes Lavalas des quatre coins du pays de manifester cet amour incommensurable que Fanmi Lavalas et le peuple Haïtien dans son ensemble cultivent pour le Docteur Jean Bertrand Aristide leur bien-aimé leader.

Les membres de la commission, avant de conclure a fait part de leurs sincères sympathies aux parents et proches des victimes des dernières inondations survenues dans la commune de Carrefour au sud de la Capitale Haïtienne ainsi qu’aux compatriotes brûlés vifs près de la frontière Haïtiano-dominicaine à Jimani dans le cadre d’une nouvelle campagne anti haïtienne.
«La diplomate étasunienne Jeannette Sanderson au terme de sa mission en Haïti récemment a publiquement reconnu que notre pays accuse un énorme déficit en terme de leadership. Fort de ce constat pour le moins désenchanteur de l’ex ambassadrice, nous devons tout mettre en œuvre pour aboutir au retour physique de l’Unique leader national le Docteur Jean Bertrand Aristide, victime en 2004 d’un coup d’Etat kidnapping ».

Ces déclarations pertinentes proviennent de Me. Jacques Mathelier. Il a poursuivi pour exhorter les adeptes de Fanmi Lavalas de se rendre à l’évidence que leur dynamisme réside dans leur grande capacité de s’unir pour matérialiser le retour physique du Docteur Titid.
« Il est tant de mettre fin à cette violence dont sont victimes depuis ce maudit 29 février 2004 les adeptes de Fanmi Lavalas qui ont vécu les pires moments de leur existence ». C’est ce qu’a rappelé Me. Jacques Mathelier.
Il n’est pas superflu de rappeler que Maître Jacques Mathelier, au moment du Coup d’Etat kidnapping du 29 février 2004, était délégué du Sud. Et en brave militant, il a du opposer une farouche résistance à ce nième chambardement commandité comme à son accoutumée par cette oligarchie irrémédiablement répugnante. Pa bon ditou.

En signe de représailles, Me. Mathelier a été jeté en prison injustement et illégalement. Cette injustice criante et cette flagrante violation des droits du délégué furent perpétrées juste pour satisfaire les fantasmes revanchards de Gabriel Fortuné et de Paul Denis co-coordonnateurs de la branche armée du groupe des 184 d’Apaid et complices.

Le Délégué Mathelier a passé près de deux ans derrière les Barreaux de Boniface, Latortue / Bernard Gousses et autres bourreaux incorrigibles à la solde des fossoyeurs internationaux, foncièrement à l’émergence des masses populaires.
René Civil lui aussi ex prisonnier de conscience était du nombre des panélistes. Monsieur Civil a abondé dans le même sens que les deux autres intervenants. Il n’a pas cessé de lancer de vibrants appels à cette unité historique au sein de Fanmi Lavalas, indispensable si l’on veut aboutir au retour physique immédiat de l’exilé du siècle le Docteur Jean Bertrand Aristide.

« C’est avec un cœur écartelé que nous pensons à nos camarades emprisonnés depuis plus de cinq ans à cause de leurs allégeances politiques. C’est avec une tristesse incommensurable que nous constatons que plus de cinq ans après, l’unique leader national vit un exil corrodant. En conséquence l’unique antidote pouvant conduire au retour immédiat de notre leader national est l’Unité. Et si nous nous ressemblons en tant que Lavalas, nous devons nous rassembler pour renforcer cette unité qui doit aboutir au retour de Titid »

René Civil a tenu ces propos du haut de ce panel. Georges Euvonie Auguste, au cours d’un aparté nous a confié que sa présence dans cette salle en ce matin radieux du 29 Octobre 2009 est la preuve tangible de son attachement indéfectible à l’unique leader que le pays connaît actuellement. En parlant de leader, la Manbo ne fait allusion qu’au Président Jean Bertrand Aristide.

« A titre de Manbo Fanmi yan, comme mes chers camarades aiment m’apostropher, et aux noms de tous les Pitit Fèy encore attachés à notre culture authentiquement, nous revendiquons haut et fort le retour physique dans le plus bref délai de l’unique Leader National, son excellence le Président Jean Bertrand Aristide » a clairement revendiqué la Manbo.

Un seul peuple; le Peuple Haïtien, une seule Famille; Fanmi Lavalas, un seul et unique Leader National; le Docteur Jean Bertrand Aristide. C’est en ces termes que la Manbo a conclu cet aparté. Jean-Claude Pierre, en dépit des représailles inénarrables dont il a été victime, le militant, conforté par ses convictions, ne s’est jamais défait de ses globules Lavalas.

« En tant que membre à part entière de Fanmi Lavalas, nous exhortons tous nos partisans à une unité historique. La division est l’arme de prédilection des fossoyeurs pour venir à bout de la résistance populaire symbolisée par Fanmi Lavalas. Et, seule cette unité nous permettra de définir une stratégie scientifique pour parvenir au retour physique et immédiat de l’unique leader national. Parlant de l’unique leader national, il ne saurait s’agir que du Docteur Jean Bertrand Aristide », a-t-il certifié.

L’unité pour le retour, ce mot d’ordre était sur les lèvres de tous les intervenants. Et toute personne sensée devrait se rendre à l’évidence que la réaction internationale privilégie la stratégie de la division pour lui permette de concrétiser ses projets d’anéantissement des masses populaires.
Le coup d’Etat kidnapping du 29 février 2004, l’exil du Président Aristide, l’emprisonnement et la révocation des militants Lavalas, l’éviction de Fanmi Lavalas des dernières élections ne sont que les modules palpables de ce plan machiavélique concocté dans les caves à tractations des ambassades occidentales pou ka fè Ayiti nan eta l ye la a.
Blan an pap jwe. Alors, à bon entendeur, salut. Sa k vle konprann ya konprann.

J. Fatal Piard


"Yon sèl nou fèb, ansanm nou fò, ansanm, ansanm nou se Lavalas".
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